Revoilà la Zoe pas si Zen que ça avec sa détestation de toute critique du féminisme et sa déformation des propos qui la dérangent.
Comme vous ne l’avez pas lu, je parle du féminisme, pas du féminin. Ce sont deux choses très différentes. Les féministes se sont certes emparées du féminin, mais ce n’est qu’un hold-up. Le discours ne trompe pas : c’est un discours totalitariste.
- Si le féminisme veut être un humanisme (il a le culot de le prétendre parfois) il doit traiter des questions de tous les humains, pas d’une seule catégorie, et donc il abandonne son appellation trop catégorielle.
- En effet il arrête d’accuser les hommes de tous les maux réels ou supposés des femmes et cesse de jouer au procureur dans ce procès biaisé et misandre.
- Il défend la justice, le respect, l’équilibre entre les sexes, mais pas seulement les femmes.
- Il reconnaît aux hommes leurs qualités et cesse le les prendre comme boucs émissaires. Il cesse de tordre l’Histoire pour alimenter la stratégie victimaire. Il reconnaît que dans leur grande majorité les hommes ne sont pas identiques à quelques criminels (comme les femmes ne sont pas dans leur grande majorité identiques à quelques criminelles). Il cesse donc de jouer aux pleureuses ou aux justicières.
- Le féminisme étant forcément abandonné s’il ne veut plus être un simple clan catégoriel, ce qui lui succède est confié aux humains hommes et femmes. Je comprends que cela vous dérange de ne plus pouvoir dire n’importe quoi sur les hommes sans qu’il interviennent.
Bref, vous savez tordre les propos. Une vraie pro. Vous ne me faites pas rire car vous illustrez bien le féminisme actuel : attaquer, tordre, ne pas se mettre en question, stigmatiser les hommes qui le critiquent, polluer la société, conditionner les femmes pour qu’elles se sentent victimes et engranger des subvention, etc. Bref, vous confirmez mes propos. Le féminisme est un fascisme à froid. Il devra être éliminé.