Effectivement, il s’agit d’une course de vitesse entre les oligarques qui dirigent l’europe et les pays européens et ... les peuples.
Les premiers n’ont -de leur point de vue- plus d’autre choix que de précipiter les peuples européens dans toujours plus de controle et d’asujettisement -et encore plus avec cette « union transatlantique » qui s’annonce- pour éviter d’être rattrapés par la somme et les conséquences des décisions précédentes. Un vrai désastre dont la Grece, l’Espagne et ... les millions de chomeurs sont les victimes. Les autres vont suivre.
Or, tout cela est maintenant évident pour tout le monde : l’europe telle quelle est un échec cuisant ...pour les peuples. Ceci dit, elle n’a jamais été mise en place pour les peuples.
Je prendrais ici pour exemple la trop fameuse « directive Bolkeinstein » qui permet de faire travailler en France des travailleurs de l’Est aux conditions de leurs pays d’origine. Une catastrophe sociale pour nos ouvriers et salariés. Et bien, elle a tout de même été imposée contre notre volonté et malgré toutes les promesses (en fait mensonges).
Dans les faits et la réalité, les peuples n’ont plus guère de possibilités de réaction, sinon de réagir très vivement (mais je pense que ces réactions sont déjà anticipées) pour leur (notre) survie. De plus, les partis et les syndicats ne sont que des rouages ou éléments du système de tromperie mis en place. On constate bien qu’à chaque mouvement social spontané, les syndicats viennent le récupérer ... pour l’étouffer dans l’oeuf.
Et la Grece dans cette gigantesque partie (tromperie institutionnalisée) semble bien servir de « laboratoire » d’expérimentation. On remarque notamment que les opposants finissent par s’essoufler et se replier sur eux, en état de survie. Une « bonne expérience » pour nos dirigeants. Il doivent penser qu’en persévérant ,, ils parviendront à leurs objectifs : réduire les peuples pour accentuer le controle des 0,0001%.
Hier, dans Cdanslair, les derniers représentants (menteurs) de la défense du projet européen commençaient à paraitre désarmés. Giuliani et Dessertine notamment apparaissent maintenant au grand jour comme des menteurs rémunérés, avec des arguments éculés, notamment pour défendre les banques « qui financent la vie économique » (citation).
Nous sommes véritablement en état de guerre avec les banques qui sont derrière cette gigantesque escroquerie et cette dictature rampante en train de s’installer sournoisement.
Et notre survie d’hommes libres dépend de ce qui va se passer dans les mois à venir.
A vrai dire, je suis assez (très) inquiet.