Pour Tythan,
Je suis Sylvain Baron et vos propos s’apparentent à de la diffamation à mon endroit.
La première raison est que non, je ne verse pas dans le « complotisme » bien que je m’intéresse à l’histoire et reconnaisse que nous ne sommes dans un monde de Bisounours où les capitalistes de tous poils et la CIA œuvreraient pour le bien des peuples. Mes sujets de prédilections sont l’économie, la géopolitique actuelle et la décroissance. N’importe lequel de mes contacts sur Facebook vous le confirmerait. Je ne publie que très rarement des actualités évoquant des sujets concernant le sionisme ou autres points litigieux de la sorte.
La seconde raison étant que je suis au contraire connu pour être quelqu’un qui cherche à tisser des ponts entre les partis politiques dits « souverainistes ». D’ailleurs, j’ai eu plusieurs occasions de discuter avec M. Dupont Aignan par téléphone et le seul article à charge que j’ai rédigé « contre » lui, invitait les sympathisants de l’UPR à voter pour son mouvement lors du premier tour des dernières présidentielles. J’ai envoyé une copie de cet article aux instances dirigeantes de Debout la République, ces dernières m’ayant remercié pour mon sens critique et mon objectivité sur les enjeux.
Je n’ai pas seulement eu l’occasion de discuter avec M. Dupont Aignan à plusieurs reprises, je discute aussi parfois par messagerie ou au téléphone avec d’autres cadres ou militants de Debout la République. Tout comme j’ai eu l’occasion de discuter de vive voix avec Marie France Garaud, et que j’entretiens des réflexions croisées avec des sympathisants du Pôle de Renaissance Communiste Français et de très rares sympathisants du Front National qui ont le mérite de dissocier la propagande très limite de leurs partis, aux questions plus essentielles de notre Souveraineté à récupérer pour le bien être de tous les Français, qu’importe leurs origines ethniques ou confessionnelles.
Enfin s’agissant de l’UPR, effectivement, ce parti n’aime pas les réels activistes et je fus exclu temporairement de l’UPR. Mais la vérité est que c’est moi qui n’ai pas souhaité ré-adhérer en comprenant que si je souhaitais pouvoir légitimer des propos plutôt fédérateurs entre les sympathisants de différents partis politiques, il fallait que moi-même je sois en dehors de toutes chapelles ostracisantes. En outre, cela me laisse une liberté de ton pour critiquer l’UPR, même si je pense me montrer plus objectif que vous quant à ses qualités et ses défauts.