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Robert Branche
Excellent article, en forme de pierre à l’édifice.
Sans prétention malgré mon titre (je suis un chercheur affamé)
je voudrais simplement revenir sur la fin de votre développement, je vous cite
:
"Les deux cerveaux sont-ils totalement indépendants ? Non, ils
sont réunis par un nerf au joli nom, le nerf vague. Son rôle reste encore
imprécis, mais, s’il assure une forme de synchronicité entre les deux, il
n’entrave pas l’autonomie du cerveau abdominal."
Concernant le nerf vague et son rôle impréciable, je me permets de vous faire
part de mes avancements sur le sujet (je n’avance pas l’idée d’en émettre une
thèse un jour, en partageant nos travaux peut-être pourrions-nous lever
certains voiles sur la question, c’est un sujet d’échanges dès l’origine...)
Voulant éviter de me voir retourner « la sortie des sciences »
je ne vous transmets ici, qu’une approche définitionicative en trois point sans
presser le temps, des fébrilités de la réunion des deux cerveaux et de leurs
lieux divers.
Seule
petite précision, c’est un début de point de vue que le bonheur a fait :
« Les noyaux du raphé ou noyaux raphé
sont un ensemble de structures sous-corticales elles sont présentes au niveau
du bulbe rachidien, du pont et du mésencéphale. Ils sont responsables du
système sérotoninergique (lié à la sérotonine).
« La sérotonine, encore appelée 5-hydroxytryptamine (5-HT),
est une monoamine, servant de neurotransmetteur dans le système nerveux
central. Elle est majoritairement présente dans l’organisme en qualité
d’hormone locale (ou autacoïde). Sa part dans le cerveau où elle joue le rôle
de neurotransmetteur ne représente que 1 % du total du corps mais elle y joue un rôle essentiel pour l’entretien de l’homéostasie
du cerveau. »
« L’homéostasie est la
maintenance de l’ensemble des paramètres physico-chimiques de l’organisme qui
doivent rester relativement constants (glycémie, température, taux de sel dans
le sang, etc.).
D’ailleurs, la fixité du milieu intérieur
est la condition d’une vie libre et indépendante : c’est-à-dire que nous
ne devons pas trop nous préoccuper de l’environnement pour évoluer. »
(Source
Wikipedia)
Concernant
le sujet majeur de votre article, il faut être bien dans son assiette pour en
débattre, car les couverts du sujet sont fragiles, alors que d’éminents
scientifiques sont attablés autour de ces mystères depuis bien longtemps, et
leurs découvertes sont sans cesse en renouvelance. J’étudierais ceux-là de plus
près quand mes connaissances inférieures seront plus précises.)
Je
me vois aussi dans la curiosité de lire vos écrits, afin de mieux appréhender votre
vision de la chose. Veuillez trouver ci-contre ma remèdiation en cachet
renouvelée :
Doctot
ès-kissait Apprendre.