Bonjour,
Nicolas d ; De fait, je considère qu’à l’heure actuelle, il n’existe plus d’autre alternative que de se préparer individuellement, ou mieux, en petit comité, à un défaut rapide et brutal de la société qui nous fait vivre.
Mon point de vue est celui d’un gestionnaire expérimenté (mes derniers boulots ont consister à remettre des boites sur pied) spécialiste du comportement humain et par extension social.
Ce qui se pointe à l’horizon (cinq, dix ans ?) risque selon moi d’être de loin la pire catastrophe de l’histoire de l’humanité passée et à venir.
La dangerosité est moins dans la situation, parfaitement catastrophique (surpopulation, épuisement des ressources, absence de structure de responsabilité à l’échelle mondiale), que dans le comportement humain, qui, dans ce type de situation, plonge dans le déni tant que possible, puis dans la recherche de boucs émissaires jusqu’au nihilisme s’il le faut.
Donc oui, j’ai ma bad, je trouve Piero de bon conseil et faisant oeuvre utile par la communication qu’il pratique, et comme ça fait déjà plus de cinq ans que je m’égosille dans la plus parfaite indifférence sur ce sujet, je n’aurai guère d’états d’âme relativement aux cigales.
Chacun est libre de ses choix, et chacun sera responsable de ceux-ci.