Vous avez tous l’air de critiquer
Djamel Debbouze et je pense que vous avez tort car il s’agit d’un
grand intellectuel capable de nous apprendre plein de choses.
Ainsi, ayant obtenu un prix pour un grand film (Film Français
en France mais de nationalité algérienne quand présenté sans
succès à Los Angeles) relatant la contribution décisive des
soldats maghrébins à la victoire finale pendant la dernière guerre
au festival de Cannes il nous a appris ensuite que "les grands
parents des immigrés maghrébins avaient libéré la France, leurs
enfants l’avaient reconstruite et leur petits enfants la faisaient
fonctionner" : personne avant lui n’avait réussi à faire une
synthèse aussi brillante de l’histoire de France qui, on le sait
démarre le jour où le premier maghrébin a posé ses pattes chez
nous dans notre pays La France. (le 2 Février 1941, à 8h30)
Sa vision de la double
nationalité est également d’un haut niveau intellectuel
inaccessible à la majorité d’entre nous mais qui est très simple :
puisque une nationalité donne des droits, deux nationalités en
assurent le double. Et c’est pas à un mono national français qui
va nous dire ce qu’il faut dire et faire..
Et puisque en tant que « Français »
comme lui on n’est jamais sûr d’être traité équitablement par la
France il faut se garder une porte de sortie pour revenir à la
maison car on ne sait jamais.
J’ajoute enfin qu’ il y a un
domaine où les arabo-maghrébins -musulmans excellent et où nous en
subissons tous les jours les bénéfiques influences, c’est celui
de « la liberté d’expression. » qui, comme nous le
savons tous, est un concept sorti tout droit des fondamentaux
musulmans islamistes.
Aussi, c’est au titre de cette liberté
d’expression fraichement importée que j’interdis aux minables mono nationaux
Français de dire du mal de Debbouze.
D’ailleurs, pour moi,
c’est simple, quand on constate l’indéniable et salvatrice
contribution de Debbouze au renouveau de la France, je propose qu’on
rajoute une bouze au nom de Debbouze.
Nous l’appellerons ainsi
Monsieur Troibbouze.