Pénible et long copié-collé, à côté de la plaque, à mon avis.
Tout-le monde sait ce qu’est une Pyramide de Ponzi, merci ; un lien aurait suffit.
C’est d’ailleurs le contraire de la retraite par « répartition » (mot mal choisi d’ailleurs à mon avis). La pyramide de Ponzi implique les faux en écriture d’un côté et la cupidité de l’autre. Elle ne repose qu’éphémèrement sur une croissance exponentielle qui se casse la gueule quand la courbe se verticalise. Quelques suicides sont l’effet collatéral des faillites qui s’en suivent : pas grave, faut vraiment être con.
La « répartition », que j’appellerais plutôt « mutualisation » repose sur le système inverse est un circuit fermé fonctionnant en boucle, système dont la finalité n’est pas à priori l’achat de Rolex ou autres babioles...
Non ce système est un vase clos dont il faut (désolé les intégristes !) bien admettre que :
Pour que les cotisations des actifs du présent financent la vie des actifs du passé et ainsi de suite, et étant-donné que le nombre des uns et des autres varie en fonction de l’air du temps, un nivellement indexé sur le rapport actifs/retraités est nécessaire : théoriquement, le montant de la pension et/ou celui des cotisations devraient évoluer tous les jours, selon chiffres de l’emploi d’un côté et mortalité de l’autre, de façon à garder la proportion nécessaire à un équilibre sur le long terme.
Moralité, on peut assez facilement se fixer une ligne « mutualiste » à peu près logique, encore faut-il d’une part accepter la fluctuation des pensions et prélèvements, c’est essentiel, en arrêtant de se battre pour des seuils & objectifs obsolètes avant d’être atteints, mais aussi d’autre part à inventer le gestionnaire idoine pour le mastodonte financier que cela suppose.
Je propose la naissance d’une nouvelle science économique : « L’ isodémographie sociale »...
(penser à en parler au directeur de l’ENA).