Ce type a tué deux femmes et certains osent encore le considérer comme une victime, un homme qui souffre. Il a tenu ses femmes par la terreur, et si elles n’ont pas parlé, c’est soit parce qu’elles n’étaient pas ou plus en état de le faire, soit incapables de fuir. Ce type n’a payé aucune dette, c’est la perpétuité qui aurait permit de payer sa dette sociale ; quant à la morale, un meurtrier ne la rachète jamais car la victime ne ressuscitera pas.
Je suis un homme et la question du féminisme n’a rien à voir la dedans ; un type qui tue une femme, qui frappe ses femmes régulièrement, ne mérite aucune mansuétude. Honte à la famille de ces femmes de ne pas les avoir sauvées de ce sale type ; ce genre de branleurs sont des faibles, une branlée de la part d’un autre homme et ils sont remis droits. Un vrai homme ne frappe pas une femme, seuls les faibles et les pervers le font. La France a un gros problème de machisme et de misogynie ; les affaires Cantat, DSK, Polanski, entre autres, illustrent ce fait : les tueurs de femmes, les violeurs, font toujours l’objet d’une grande mansuétude ici, on leur trouve de nombreuses circonstances atténuantes, alors que leurs victimes sont accablées de torts, du genre, elles l’ont bien cherché (Trintignant droguée, Dialo amie avec un trafiquant, la mineure violée par Polanski qui posait dans Playboy). Misogynie française viscérale, instinctive, et bien souvent inconsciente, ce qui est pire.