Intervenir sur un fil deja long n’est pas tres « communicant »
Je vais le faire quand même pour tenter d’expliquer a l’auteur, pourquoi son raisonnement, même sil est valide ne marche pas.
Il ne marche pas, parcequ’il attaque de front ce qu’il appelle le « capitalisme » qui en lui même ne pose pas de probleme. Il ne pose pas de probleme parce que la conjoncrion de capitaux et de travailleurs est la base même de la mutualisation des capacites et competences pour creer de la richesse.
Le defaut actuel est( quil a pardessus cela deux phenomenes profondement perturbateurs :
La financiarisation... qui ne sait mesurer la richesse qu’a partir de la rentabilité absolue... par exemple la rentabilité d’une usine de Feta en grece ne peut etre la même que celle d’une industrie petroliere...
L’absence d’objectif sociaux de l’entreprises qui est devenu un predateurs sur les tissus economiques au lieu d’etre un pourvoyeur de richesse grace a la repartition de ses benefices et de son travail
Pour revenir a un systeme normal, c’est tres possible sans tout casser comme vous dites.
Il faut effectivement commencer par regler le probleme des banques, vrai probleme car c’est celui qui permet la financiarisation...
... et il faut remettre de l’ordre dans la legislation comptable et le droit des societes pour que leurs objectifs sociaux soient pris en compte, comme la creation de SL (Societe locale) pour lesquelles les detenteurs de capitaux ne peuvent etre que des personnes physique a 85% au moins (15% max de holdings ou autres organismes) et surtout que ces 85% soient strictements locaux, definition exacte a determiner, la localité pourrait etre calculée sur 1 region et ses voisines maximum.
Pour que les "capitalistes, c’est a dire les entrepreneurs soeint poussés a utiliser ce type se structure il faut la dotée d’une fiscalité reduite et de quelques regles faciles (comme la preference dans les appels d’offres) chose que Bruxelles ne permet pas aujourd’hui, on comprends bien pourquoi
Bon dimanche