@ mario
et gnia gnia gnia, toujours la même réaction de gens qui ne savent rien.
Pour en revenir à l’article, juste quelques remarques :
"Les services enquêteurs ont été noyés par des affaires qui ne
présentaient que peu d’intérêt et qui auraient pu être traitées sans
placer les auteurs en garde à vue, "
Il n’y a jamais eu aucune obligation judiciaire de placer les gens en GAV, ils se noyaient donc eux-mêmes au prétexte de stats.
Par ailleurs, les officiers de Police, tout comme les commissaires
de Police, ont vu leurs fonctions évoluer vers des tâches
administratives et statistiques, au détriment de l’encadrement des
personnels et du suivi opérationnel des missions de Police.
c’est pas faux, mais est ce réellement gênant dans le cadre de la réforme des carrières où les gradés sont censés prendre le relais, en tout cas dans l’opérationnel proche. L’officier, et c’est lui (son syndicat) qui l’a demandé, a de plus en plus un rôle de cadre sup éloigné de la base, c’est l’évolution du métier qui veut ça...
Ceci a eu des conséquences très négatives, pour les enquêteurs
gardiens et gradés qui se trouvent seul face à des dizaines de dossiers
sans orientation et sans consignes pour les traiter.
parce que ce sont des veaux incapables de réflexion, c’est ça ? les enquêteurs, gradés et/ou gardiens, maintenant OPJ, ont, pour bcp, un niveau scolaire ou universitaire supérieur à celui des inspecteurs d’il y a 25 - 30 ans, je ne pense pas que le soucis soit réellement à ce niveau là.
Sur le terrain, pareillement, les équipages des police-secours ou les
brigades anti-criminalité sont souvent démunis lorsqu’ils sont
confrontés à des situations graves tels que des homicides ou autres, du
fait de manque d’encadrement sur le terrain.
oui, mais soyons clairs, il s’agit d’un manque d’encadrement immédiat, de gradés expérimentés, du fait du jeune âge de bcp de gardiens de la paix, pas d’un manque d’officiers.