Article très intéressant.
J’ai aussi lu il y a quelque temps un article allant un peu dans le sens de ce que dit l’auteur.
Inscrites dans notre patrimoine génétique, les cellules cancéreuses feraient en fait partie de notre panoplie de sauvetage et viendraient en renfort des globules blancs en cas d’attaque prolongée trop sérieuse pour eux. Les cellules cancéreuses ont en effet un pouvoir destructeur extrêmement important.
Le hic c’est qu’elles s’attaquent à des organes sains et ne s’arrêtent plus de proliférer jusqu’à la mort du malade.
Et là, on est au royaume des hypothèses quant à savoir pourquoi...
Plusieurs chercheurs sont persuadés qu’il y a un lien entre le mental et le physique, qu’une émotion renvoie à un organe précis et le met en situation de grand stress (par exemple l’estomac et la rancoeur, le colon et la peur, le poumon et la tristesse), que les cellules cancéreuses, pensant attaquer un ennemi extérieur à l’organisme, se mettent en branle et détruisent carrément l’organe attaqué afin de le protéger. Le cancer serait donc bien une maladie avec une composante psychosomatique. Quant aux substances chimiques qui nous agressent, il serait possible qu’elles fonctionnent un peu de la même manière que nos émotions, en « trompant » les cellules cancéreuses.
Bref, le sujet est fascinant.