Bonjour,
Ce n’est pas Aurore Ville mais Auroville, en référence à Sri Aurobindo. L’idée était de réaliser l’homme nouveau qui rechercherait le bien en lui-même, plutôt que de le réaliser à l’extérieur (comme le veulent les communismes). En effet, si nous recherchons la parardis sur terre sans tenter de nous améliorer, nous n’allons pas arriver à grand chose à cause des grandes contradictions de nos sociétés et civilisations. Par exemple, d’un coté pour des raisons pacifiques, nous pensons généralement qu’il faut supprimer toutes les armes alors que d’une part la gente masculine a toujours été fasciné par les armes et de l’autre, nous considérons que posséder l’arme atomique est un moindre mal pour maintenir une forme de paix.
Je passe aussi juste pour décrire un problème : l’article critique notre système civilationnel. Il est vrai que l’être humain est infiniment flexible. Or, il me semble qu’un de nos défaut est le besoin d’une autorité (abstraite ou concréte, peu importe). Ce problème vient de notre éducation : nos parents et les adultes en général nous ont apporté UNE description de la réalité. Ainsi, nous sommes avant tout conditionné pour accepter une réalité, des habitudes, alors que la réalité, c’est ce que construisent les hommes, rien d’autre. Si on était capable de comprendre qu’il n’y a rien d’objectif, que le monde des humains est maintenu par la magie, aucune révolution ne serait nécessaire.