Par ailleurs, vous dites que nous nous complaisons dans notre discours philosophico-politique.
Nous sommes curieux de savoir qui vous êtes pour nous juger sur ce dans quoi nous nous complaisons.
Sachez, pour l’info que nous aurions aimé ne pas avoir à partager pour nous « légitimer », que moi même -fondateur du collectif, professeur de philosophie de formation, me suit « frotté » à l’institutionnel pour tenter d’y apporter ma modeste contribution (ayant été collaborateur parlementaire pour un député de l’actuelle majorité), et, ayant constaté de l’intérieur l’impossibilité d’influencer quoique ce soit, et qu’à l’issue de cette expérience, j’ai décider de m’en retourner à mes salles de classes convaincu que c’est là, à la racine, qu’il fallait agir.
Par ailleurs, la co-fondatrice de notre collectif, travaillant encore actuellement comme collaboratrice d’un maire d’arrondissement de Paris chargée aux affaires sociales (c’est à dire qu’elle se charge des sans-abris, des expulsés, des roms, des handicapés ou encore des personnes âgées dans la dépendance, qu’elle reçoit au quotidien dans son bureau pour se charger de leur cas), souhaite désormais se réorienter dans l’éducation (via l’associatif).
Sans développer plus loin nos CV -et nous pourrions évoquer notre participation active pour de nombreuses associations, agissant notamment au Mali où nous nous sommes rendu à deux reprises pour développer l’outil informatique dans les foyers éducatifs, ou encore nos actions bénévoles en France pour le Croix Rouge, nous apprécierions que notre implication sur le terrain ne soit pas hâtivement jugée à l’aune d’un style d’écriture et d’argumentation qui ne reflète in fine que notre exigence, peut-être maladroite sur ce type de média, de rigueur de la pensée.
Sur ces quelques précisions,
Bien à vous,
LNA