En théorie, l’ Islam condamne le viol et condamne le violeur à mort ou à la flagellation publique selon son statut marital.
Ils l’amenèrent alors devant le messager de Dieu (paix soit sur lui). Lorsque le prophète s’apprêtait à donner sa sentence, l’homme qui avait attaqué (violé) la femme se leva et dit : « Messager de Dieu, je suis coupable ». Le prophète dit à la femme : « Pars, car Dieu t’a pardonnée ! » (Mais il dit quelques bons mots à l’homme). Quant à l’homme qui a eu des reltations sexuelles avec elle, il dit : « lapidez-le à mort ! »
Mais d’autres sourates autorisent le contraire : (Sura 4.24) « Et parmi les femmes, les dames (qui ont un mari), sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété ». Une sourate qui autorise les rapports sexuels avec les femmes des ennemis vaincus.
En pratique, c’est autre chose : le témoignage d’une femme est toujours considéré comme étant de moindre valeur face à un homme. Selon les pays, il faut entre trois et cinq femmes témoignant dans le même sens contre un homme pour se faire entendre sur le plan légal.
Dans d’autres pays, c’est la femme violée, et non le criminel, qui est condamnée à mort, sous prétexte d’adultère. En violation flagrante avec le Coran.
Pourtant, on n’entends pas beaucoup les musulmans les condamner.