La question est de savoir si nous devons préférer moins de riches et plus de pauvres ou plus de riches et moins de pauvres. Car la mécanique sociétale (et sociale) fonctionne de telle sorte, depuis que l’homme existe, qu’à davantage de richesse correspond moins de pauvreté et vice versa, comme aurait dit La Palisse.
Le partage de cette richesse est une autre question, en réponse à laquelle s’affrontent diverses méthodes tentant de s’opposer à la cupidité naturelle de TOUS les hommes.
Qui peut nier que si demain l’utopique renversement ou tassement de la pyramide sociale avait lieu, toutes les richesses du monde étant partagées en parts égales entre tous les humains, la terre serait après-demain, à nouveau peuplée de riches et de pauvres qui s’organiseraient dans un nouvelle pyramide. Le talent, le courage, l’ambition, la chance, la nature, sont fondamentalement différents chez les uns et les autres d’entre nous tous. Nous ne sommes pas encore une société de fourmis ou d’abeilles ; où règnent d’ailleurs des pouvoirs et où les unes engraissent pendant que d’autres se tuent au travail, pour la prospérité générale, que traduisent une ruche et une fourmilière pleines de miel ou d’autres richesses.
Voir à ce sujet :
Sans omettre les schémas qui sont publiés sur ce blog. Ils en disent chacun plus long qu’un discours et sont là précisément pour ceux que la lecture décourage.