J’hallucine :
les jeunes très qualifiés qui sortent de l’école font des « stages » des mois voire des années durant, payés 400 euros par mois ;
les non qualifiés vivent du RSA, les salariés se retrouvent en masse sans boulot ;
ceux qui conservent leur emploi ont des salaires appauvris et sont soumis à des cadences de plus en plus infernales, rentabilité oblige, pour que les entreprises fassent des bénéfices tout en payant des charges et taxes sur le travail parmi les plus élevées du monde ;
la politique étrangère française depuis sarkozy est calquée sur celle des USA et d’Israel ;
les « lois de la bioéthique » et les textes de « l’Agence de la biomédecine » permettent de prélever ses organes sur un agonisant sans un vrai certificat de décès, sans son accord, et sans anesthésie ;
Dans nos villes l’insécurité progresse au détriment des faibles : les femmes sont abordées méchamment dans la rue et font mieux de ne pas répliquer et ne pas sortir le soir, les plus jeunes sont la proie des dealers à la politique commerciale offensive, les plus âgés courent le risque d’être harcelés, violentés ou dépouillés.
Alors,
soit, Henri Moreigne, n’a pas besoin de travailler pour vivre et a de confortables revenus ; est violemment pro-istaélien, apprécie que notre pays bombarde la Syrie, la Lybie ; attend qu’un jeune s’éclate sur la route pour avoir un rein ; se fout du sort de sa fille sa femme ses parents et enfants ; et est très égoïste ;
soit, il faut m’expliquer, monsieur Moreigne.