Commentaire de Jean-Paul Foscarvel
sur Drame ferroviaire en Espagne : des similitudes troublantes avec la catastrophe du métro de Valencia en 2006
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Une éude de sécurité bien faite aurait déterminé ce qu’on appelle un « point de défaillance unique », à savoir l’erreur humaine, d’autant plus probable que l’on passe d’un vitesse automatiquement limitée à une vitesse dépendante du seul conducteur, à un passage oú justement la vitesse doit être réduite sinon on a un événement catastrophique.
Je crois que le problème, c’est l’interface.
D’autant que d’un còté et de l’autre, les responsables ne sont pas les mêmes, chacun a ses exigemnces propres, et la cohérence n’est pas assurée.
Il me semble abérant dans ce cas que la partie oú on réduit la vitesse ne soit pas contrôlée : soit on réduit la vitesse avant (sous ERTMS), soit on étend l’ERTMS aprés la zone de ralentissement.
Mais pour cela, il aurait fallut que le responsable de la ligne dans son ensemble fasses des études spécifiques de sécurité, et si ce n’est pas prévu au contrat, il n’y en a pas.
Ainsi fonctionne (dysfonctionne) l’ingénierie contractuelle.
Derniers commentaires
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31/07 11:30 - appoline
Développez Electric, j’aimerais connaître votre raisonnement. Merci
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31/07 11:27 - appoline
L’être humain a ses qualités et ses défauts. Là, apparemment le conducteur avait un ego (...)
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30/07 21:15 - Mugiwara
En Inde, les camions, à l’image du film « 100 000 dollars au soleil » avec les (...)
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29/07 12:02 - diogene95
Ca ressemble vraiment à ça... Quand les responsables ont été interrogés et qu’on leur (...)
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29/07 09:22 - gegemalaga
le conducteur accro à la vitesse : je crois que c’est + qu’une hypothèse... cette (...)
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29/07 09:02 - philippe913
faire payer un lampiste ? quand bien même, effectivement, un système de sécurité annexe (...)
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