Mmm, en bonne application de la règle qui fait que le gréviste n’est pas rémunéré, je ne doute pas un instant que les grévistes dont parle l’auteur de l’article ne bénéficieront plus des prestations auxquelles ces cotisations donnaient droit.
Sans bien sûr parler des conséquences légales de ces actes.
Il est toujours amusant de constater comment ces même personnes sont outrées lorsqu’on ne respecte pas leurs droits, sont scandalisées lorsque des salariés se mettent en grève — alors que c’est tout à fait légal, qui plus est — tandis que dans le même temps, elles ne respectent que ce qui les arrange. Un peu comme si nos lois étaient à la carte. Difficile de faire société avec des personnes de cette mentalité. C’est du même acabit que le commentaire honteux de @chmoll, qui préconise le travail au noir, et donc, ainsi, le vol de la société, puisqu’il est évident que ces resquilleurs seront les premiers à réclamer des minimas sociaux et prétendant ne rien avoir. Et quand viendra l’heure de la retraite, pour laquelle ils n’auront rien cotisé, ils auront malgré tout le minimum vieillesse. Financé par qui ? Ne parlons pas du manque de reconnaissance quand on pense à qui a financé leur éducation, qui a financé et finance les infrastructures qu’ils utilisent pour travailler, etc. Ce gens ne sont que des parasites et doivent être traités comme tels, avec le mépris qui leur est dû.