@franc
Réveillez-vous, mon ami ! Arrêtez de vous gargariser de fausses sentences religieuses et de sortir de la vertu des textes sacrés dont le premier devoir est l’humilité et le respect de sa propre croyance comme des autres. Bien sûr, en vous gargarisant de mots, en se permettant de juger les croyances de milliards d’individus (chrétien, judaïque, islamique ou autres) et que vous érigez Dieu comme l’absolu, qui n’a point besoin de vous que vous l’élevassiez je ne sais vers quelle hauteur dont il n’a besoin parce qu’il est l’ABSOLU, et que vous descendiez les autres croyances presqu’à la puérilité que pour le plaisir de dire « qu’un livre même délivrant la meilleure et le plus sublime des pensées, car un homme ou un objet tel qu’un livre aussi relativement parfaits soient-ils restent un être ou un objet crée immanent imparfait, et donc critiquable », et vous réfugier dans cette sentence telle un fusible de protection comme « dire que le Christ est Satan ou que le Bien est le mal là est le péché contre l’Esprit et il est impardonnable », alors je ne vous suis plus.
Je croyais que j’avais en face de moi un être sensé et je vous ai suivi dans la discussion parce que vous avez soulevé un problème fondamental et qui consiste à savoir d’où provient le « mal du monde ». Après moult discussion, je vous ai donné raison parce que, à la fin, et au-delà que tout ce qui existe sur terre et dans l’univers et par de-là l’univers, s’il y a un par de-là univers, j’ai pensé et j’ai rejoint votre pensée que Dieu ne peut pas être l’auteur du mal dans le sens qu’il ne veut du mal à l’homme combien même le mal existe dans cet univers qui est l’œuvre de Dieu. Evidemment, il y a une contradiction qui est résolue par l’essence même de dieu qui veut que Dieu veut le Bien du monde.
Ceci étant, le problème pour ainsi dénoué, je n’ai plus le droit en tant que simple être humain non pas que je ne peux poursuivre la discussion avec vous, mais ne peux aller au-delà de ce qui commande le sens de l’humain, i.e. de ne pas déborder des sujets qui demandent de l’humilité, la déférence envers les croyances des autres, de tenir compte des préceptes moraux, Or, votre habitude de vouloir tout mathématiser, tout critiquer, il y a des limites qui m’astreignent de ne pouvoir vous suivre. Désolé, franc.
Cordialement