L’auteur
Sans aucun parti prit nous dévoile le sulfureux passé de Mme Sarkozy, sans dévoiler les « charmes » de Mme Trierweiler
C’est pourquoi je vais réparer cet « oubli »
Devant la marée de drapeaux africains qui célébraient la molle
érection de Hollande, elle était déjà là à nous gâcher le tableau.
Détestable harpie qui force son mou à l’embrasser devant les caméras,
enchaînant les maladresses de châtelaine, la Trierweiler s’enfonce dans
une vilaine aventure genre fin de règne. Cela ne lui suffit
plus et — nous l’avons vu dans le procès qu’elle intente à ses
biographes — elle oblige désormais le souverain à intervenir dans le
cours de la justice ! Si elle pouvait, elle châtrerait le manant Salviac
qui l’accusait d’avoir couché pour réussir…
Le plus dingue, c’est que « la compagne » ne représente rien
dans le royaume. Par le passé, on avait eu la potiche Anne Aymone
(ultra-coincée), la militante Danielle (ultra-gauchiste), la vieille
Bernadette (ultra-moche) ou la chanteuse Carla (ultra-people).
Désormais, on a la vulgaire Valérie, ultra-détestée. Un mélange de
Morano et de Nelly Olson, les rides en plus.
Depuis son légendaire tweet, l’image de celle qui se compare… à
Marie-Antoinette s’est dangereusement écornée. Un sondage publié par VSD
pourrait même lui passer la tête sous le couperet : 69 % des Français
auraient une mauvaise opinion d’elle. Pas besoin d’être historien pour
le remarquer : elle sent à plein nez la favorite haïe du peuple.
D’abord, son style de grisette mal dégrossie, qui jure avec la
précédente « reine » qui, au moins, la jouait plus fine. Il y a
aussi ses vilaines manières avec la duchesse du Poitou, qu’elle
rendrait presque sympa, et puis, ses incessants commentaires sur tout et
rien.
Car Madame a ses états d’âme, et dans cette presse, qu’elle aimerait tant embastiller, elle avoue : « J’ai pris conscience de ce qu’on attendait de moi. » A-t-elle seulement conscience qu’en fait nous n’attendons rien d’elle ? Elle poursuit, façon précieuse ridicule : « Le 6 mai, c’est un peu comme si on m’avait fait sauter en parachute sans parachute… »
En Algérie, face à des écoliers, Valérie-Antoinette s’est lancée,
micro en main, dans une déclaration d’amour digne des romans arlequin : « Je
suis surtout la compagne de François Hollande avant d’être celle du
président de la République. C’est l’homme dont je suis tombée amoureuse,
pas du président. » Ajoutant qu’« être première dame, ça fait très peur au début, ensuite on apprend, comme vous à l’école » ; La dégringolade semble ne plus s’arrêter : au Noël de l’Élysée, pas encore interdit par le Vivre Ensemble, elle avait surjoué son rôle avec les enfants, pendant que François apparaissait dans un quasi show de télé-poubelle !
Plus fort encore, elle a récemment « confié » à une gazette qu’elle se réjouissait d’être prochainement « l’un des tous premiers témoins de l’un des tous premiers mariages pour tous ».
Que va t-on encore supporter les prochains mois ? Il y aurait bien une
solution tranchante, à l’ancienne : Valérie-Antoinette, par ici le
couperet
Un petit plus
http://www.bvoltaire.fr/joriskarl/on-paye-la-protection-du-fiston-de-valerie-trierweiler,18926
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