Mr Gruni, un grand merci pour votre réponse.
Vous me faites en plus l’honneur d’être le premier à en avoir une sur ce fil.
Il n’e m’en déplairait nullement, libre à moi de vous lire ou non.
Ce n’est pas un stock d’article qui fait le journalisme, mais le journaliste qui rédige des articles.
Quant à « La voix de Poutine », changez donc de lecture si celle-ci vous déplait.
Les pompiers (et pompières) m’ont déjà sauvé la vie, et ces quelques lignes leur rendent certainement plus hommage que votre copié-collé. Pourquoi, alors que votre position d’auteur publié s’y prêtait, n’avez-vous pas mentionné le fait que ces gens ne touchent pas « la prime de risque » malgré les conséquences que leur métier implique.
Tenez, réponse (teintée d’humour) d’un concerné à ce sujet :
"Bien sur, je touche 354 000 € par mois de prime pour la classification à
risque de la profession, mais attention ils ne donnent pas cette prime à
tout le monde ; seuls les héros la perçoivent."
En français dans le texte, s’il vous plait.
Ah, Mr Gruni et ses réponses clinquantes, quand je parlais de portes claquées. (Et vlan !).
Allez, je vous donne une petite idée pour votre prochain sujet (c’est tout frais et au frais de la princesse) :
« Marne : une balle dans la tête pour un refus de priorité. » (Le Parisien)
Comme ça vous pourrez nous parler de la violence (et jeter de l’huile sur le feu),
nous parler des problèmes de circulation, mais surtout vous ne nous parlerez pas
des problèmes de la circulation des armes à feu et des origines de cette violence.
Non, vraiment, y’a pas à dire, votre sens de l’opinion partagée est un exemple que je ne peux suivre, vous m’en voyez profondément désolé, Stof avait raison, j’aurais pourtant essayé.
Puisque vous avez trouvé le temps de me répondre, faites-en de même avec vos autres lecteurs, surtout ceux qui pensent comme vous qui pensez comme d’autres qui pensent comme ont leur dit qu’il faut penser. Pensez-y, mais ne venez surtout pas me répondre avant de penser à eux. Vous savez ce mot étrange : pensée (il paraitrait même que c’est un verbe).
Mr Gruni, en tant que héros du journalisme, je vous prime, moi je déprime...