Tiens p’tit trublion bleuâtre, je mets le lien et un mini copié-collé (pour expliquer le sens de cette expression à Mr Gruni, qui au demeurant devrait lire au lieu de croire et répéter que cela est néfaste) :
http://www.inrp.fr/edition-electronique/lodel/dictionnaire-ferdinand-buisson/document.php?id=2980
Emmanuel
Kant, philosophe allemand, né en 1724 à Königsberg (Prusse orientale)
et mort en 1804, fit ses études au gymnase et à l’université de sa ville
natale. Après avoir occupé divers emplois de précepteur, il fut reçu en
1755 comme Privat-Docent à l’université de Königsberg. Il
devint en 1770 professeur titulaire de philosophie, et occupa ce dernier
poste jusqu’en 1797, année où son grand âge le força de résigner ses
fonctions.
Comme celle de
Socrate, avec lequel il offre tant de points de comparaison, la vie de
Kant s’écoula presque tout entière dans la même ville. L’étude, la
méditation, l’enseignement remplirent seuls cette longue existence, dont
Kant sut étendre encore la durée, en quelque sorte, par un habile et
systématique emploi de son temps et de ses forces.
[...] suite à lire en cliquant sur le lien (au dessus)
Kant nous a tracé lui-même, dans la Doctrine de la vertu, un
fragment de cette sorte de catéchisme moral (Voir la traduction de
Barni, page 170). « S’il y avait un livre de ce genre, ajoute le
philosophe,, on pourrait y consacrer fort utilement une heure chaque
jour, afin d’apprendre aux enfants à connaître et à prendre à coeur le
droit des hommes, cette prunelle de Dieu sur la terre. »
Que
de fines ou profondes pensées nous aurions encore à citer sur
l’éducation physique des enfants, sur l’éducation qu’il convient de
donner au sentiment religieux, etc. ! Mais nous en avons assez dit pour
faire mesurer au lecteur l’intérêt et l’originalité du Traité de pédagogie, et l’incontestable valeur des idées de notre philosophe.
Désiré Nolen.
Et pourtant, je suis athée (mais je crois encore en l’humain) et pas forcément un grand fan de Kant.
Mr Xenozoid, rien contre vous, bien au contraire, mais si Mr Gruni pouvait par cette lecture s’ouvrir un peu à d’autre chose que sa pensée unique, ses articles en prendraient bonnes notes.
Y’a vraiment des jours où Agoravox part en vrille, tenez, y’a auteur qui nous demande ceci :
« A-t-on le droit de profaner le drapeau national russe ? »
Rien que la question me dit que l’article doit être un brillant exemple de lucidité et d’appel à la réflexion. Tiens, je vais même y répondre maintenant (y’aura plus qu’à copier-coller) :
Toutes profanations, qu’elles soient d’une tombe, d’un drapeau, d’un lieux, etc, n’est pas à cautionner, ne peut être un droit, mais un signe de révolte, et plutôt que de juger à tout va, il faudrait comprendre le motif de cette révolte et endiguer le mal qui en est à l’origine.