@ Joyeusetés :
Vous ne faites la liste que dans un sens. A croire qu’il n’y a pas de violences dans l’autre sens. Renseignez-vous. Certaines violences sont spécifiques à un sexe, l’autre à l’autre, et certaines sont partagées par les deux. La violence physique est répandue des deux côtés, et selon les pays elle est symétrique. Les meurtres sont plus causés par des hommes. Les viols aussi. Les fausses accusations par les femmes. La violence psychologique (encore faut-il la définir) par les deux. 95% à 98% des hommes violentés n’en parlent jamais à la police. Le viol des hommes lors de guerres a toujours existé, aujourd’hui il commence à être documenté en RDC. Violer une femme après une guerre n’est pas s’attaquer à elle parce qu’elle est une femme, c’est attaquer l’ethnie, humilier femmes et hommes, conquérir par le sang. Et mutiler un homme sur un champ de bataille ne me paraît pas préférable au viol.
Les chiffres de l’ONU sont biaisés. Ils reprennent des études féministes dont la fiabilité a déjà été mise à mal. J’ai beaucoup documenté dans d’autres articles, je ne le refais pas ici.
L’UE ne vaut pas mieux. J’ai déjà épluché les chiffres, écrit pour demander des précisions : on n’est toujours dans l’extrapolation.
Prétendre que la violence est genrée est une aberration et un sexisme à large échelle. Et je maintiens que les lois de sexe ou de genre sont contraires à la démocratie. La loi protège des personnes physiques spécifiques uniquement quand elles ne sont pas capable de discernement ou de responsabilité. C’est comme une tutelle.