Mais non Schweitzer, vous n’avez rien compris. Lors de vos commentaires, vous semblez montrer le fait que vous ne lisez pas les articles en fait. Avant la lecture, peut être simplement sur le titre, vous semblez vous faire votre opinion à priori puis vous recherchez la phrase, souvent sortie de son contexte, afin de valider votre compréhension à priori de l’article. Dans ce sens, il est probable que vous ne lisez pas l’article si ce n’est en diagonal (à la recherche de la phrase qui va appuyer votre position), sinon, vous risqueriez de devoir remettre en cause votre point de vue à priori.
bref, ceci explique sans doute que vous êtes souvent à côté de la plaque question compréhension. Et comme votre vision post-lecture semble souvent être orientée par l’aigreur, vos interventions en deviennent pénibles.
Le Globumanisme n’est justement pas une « idéologie, religion ou philosophie mais une simple théorie » (cf le texte) basée sur une constatation : tout est déjà défini dans la déclaration Universelle des droits de l’Homme et il faut remplacer compétition par partage et émulation. ceci se rapproche d’ailleurs des principes d’Albert Jacquart énoncés lors d’une interview sur le thème du travail (interview que l’on peut trouver facilement sur le Net). Rien n’est défini par avance puisque tout se défini par concertation, partage de points de vue, échange d’opinion. On retrouve ce mode de fonctionnement dans la gestion au niveau de la France du SOL (réseau de monnaies locales) et un des créateurs français expliquait justement qu’il y a 3 niveaux de décision pour la gestion du réseau : le consensus (trouver ensemble une solution). Si un individu fait une objection, alors le collège de décision doit régler cette objection (on appelle cela le consentement : essayer de répondre à l’objection afin que l’individu retire son objection par son consentement). Si toujours pas de solution commune, alors vote au 2/3. A Toulouse, au SOL Violette, aucune décision n’a du aller jusqu’au vote au 2/3.
Donc rien n’est bon, juste et bien à priori. Tout se défini par l’échange, la discussion, le partage d’expériences et de points de vue. C’est peut être utopique mais en rien tyrannique.
Pour conclure, je pourrais dire que votre propre agressivité permanente porte en elle votre propre abjection, mais ce serait agressif et c’est dans ce en quoi je ne veux pas me perdre justement.