@ Rosemar
Désolé, mais je suis complètement d’accord avec les critiques dévastatrices d’humour qui vous sont adressées.
Si vous saviez de quoi vous parlez, vous auriez écrit quelque chose comme « Un robot capable de tenir une conversation ». ça c’est encore digne d’intérêt même si c’est bien loin d’être neuf en soi.
Intituler votre article un « robot qui parle... » franchement, c’est parfait pour donner à croire que vous êtes tombée de la dernière pluie.
Comme l’écrit plus haut Mr Dupont, il semble qu’il existe des godes qui parlent.
Mais bon, comme dit l’adage, peu importe le vin pourvu qu’on ait l’ivresse.
Je comprends que le robot qui parle est seulement pour vous un prétexte pour évoquer la peur d’un avenir de robotisation et de déshumanisation.
J’en envie de vous rassurer.
L’homme est tout à la fois immensément plus intelligent que ses créatures robotiques et beaucoup moins intelligent qu’il ne le croit.
Malgré tous les espoirs que les scientifiques tentent d’entretenir (pour avoir des financements), il fera chaud avant que vous puissiez considérer la possibilité de prendre sérieusement un robot pour compagnon (sérieusement, pas pour jouer... avec un robot).
Blade Runner, même dans cent ans, je n’y crois pas.
Je ne dis pas que c’est impossible.
Seulement que je n’y crois pas.
La robotique on nous en rebat les oreilles depuis les années 60.
Cinquante ans ont passé et les cafards sont toujours plus intelligents et adaptés que le plus intelligent de nos robots.
J’ai expliqué tout ça dans l’article suivant :
Fascination pour l’androïde - AgoraVox le média citoyen
Pour faire bonne mesure, si ça vous intéresse, j’ai développé mon pessimisme quant au progrès ici :
L’an 2000 n’est plus ce qu’il était ! - AgoraVox le média citoyen