Bonjour L’enfoiré,
j’en suis à la relecture de mon article vierge et sans un mot,
je ne voudrais surtout pas y laisser la moindre faute.
C’est un article blanc, haut en couleurs.
Concernant le repliage dont vous fûtes victime,
j’avais observé ce phénomène et lu les commentaires.
Fort instructif, entre mignables et formidiables.
En effet, la seule danse que Dame Rosemar semble
maitriser, serait la farandole au parfum de provence,
donnant la main à A qui au passage fait jack....
Quant à l’art de la méchanceté, il échappe à beaucoup il est vrai, remplacé
par l’art d’une vulgarité galvanisante, ne faisant preuve d’aucun bon mots, ni
de goût.
Re-bonjour Vipère,
merci de votre réponse constructive, intelligente et pleine de bon sens.
Je ne suis pas sans ignorer, en effet, et je ne peux que vous donner raison sur
l’ensemble de vos propos, mais regrette cependant que les insultes ou tous
les qualificatifs outranciers, ainsi que les contenus racistes, sexistes,
homophobes et haineux ne soient pas exclus en premier lieu, mais qu’il soit
simplement conseillé de les éviter. Alors quand ceux-ci émanent d’un auteur sur
le fil de son propre article, ils ne peuvent malheureusement entrainer qu’une
suite laborieuse.
La lassitude de certains auteurs est une réalité, mais il me semblait que dans
le cas d’Ariane Walter il s’agissait d’un départ volontaire et pour Grandgil,
la raison semble être une lassitude extrême de certains commentateurs, ainsi
qu’une vision d’AgoraVox qui lui est propre (aucun jugement à porter
là-dessus).
Par contre, dans le cas de l’article ici présent (La meute, la foule, les
loups), il est évident que l’auteure ne traite aucun des sujets mentionnés, mais
fait la tentative vaine d’une lettre ouverte masquée par une métaphore bien mal
métaphorée, et il semble alors que les commentaires soient tout à fait
appropriés au sujet.
Ravi d’avoir discuter avec vous de manière si courtoise pour une première
rencontre, et il serait irrespectueux de ne pas remercier Mme Rosemar pour cela
(et ceux qui voudraient voir de l’ironie dans ces remerciements me font bien
sourire).
Bonne après-midi à vous.
Dame Rosemar,
vos pages ressemblent par moment à une boite mail publique, où fusent et s’entrecroisent à la fois les critiques, les coucous, les avis, etc.
Comme le rappelle souvent Mr Escartefigue, nous nous ennuierions probablement sans vous, mais puissiez-vous tout de même prendre quelques remarques au sérieux et de moins haut, que les commentaires se verraient allégés de certains mots « lourds » comme vous dites parfois.
Bien à vous.