Rosemar,
J’ai bien vu, il y a quelques jours, que plusieurs s’amusaient, fort bassement, à vous démolir, mais quand c’est con, je ne lis pas et je suis au fond assez mal informé des agissements de la meute que vous évoques. Par ailleurs, tous ces crétins qui ne sont pas contents font comme moi : ils vous lisent. Vos articles sont parmi les plus lus et les plus commentés, sur ce site. On ne les lirait pas si on n’y prenait pas un certain plaisir : le masochisme n’est pas le fait de la grande majorité.
En tout cas, pour vous consoler, je vous recopie ci-dessous ce que je viens d’essuyer dans la discussion d’un autre article. Ca m’étonnerait beaucoup que vous ayez jamais rien reçu d’aussi méchant. Eh bien moi, figurez-vous, l’expression de ces sortes de ressentiments, quelquefois ça me fait pitié, quelquefois, ça m’amuse.
Envoyez-nous vite un autre article, comme celui de cet hiver sur la neige. Ca va être l’automne et ça m’inspirerait si j’avais la fibre un peu poétique, comme vous.
Mais lisez d’abord ce qui suit :
"C’est toujours assez consternant de lire à travers la prose de Christian
Labrune la vision du monde de ce sinistre personnage. Son besoin
irrépressible de se mettre du côté des plus forts lui impose comme seule
méthode d’argumentation la leçon de morale, rance reflet de la pauvreté
de ses catégories de pensée, du total manque de subtilité de ses
raisonnements, de l’atrophie de sa sensibilité, de son philistinisme et
finalement de son ignorance crasse, qu’il a beau jeu de camoufler sous
une culture générale superficielle"