Rosemar
Les exercices de paranoiä n’ont jamais servi à personne !
Car, évidemment personne n’est dupe de ce discours
Non, vous n’êtes pas une martyre jeté au milieu de l’arêne
L’avez vous remarqué, rien ne sert de pleurnicher dans la cour de l’école, en allant dire aux profs qu’on veut vous du mal.
Jean jacques Rousseau s’est lui aussi essayé à l’exercice.
Ce ne furent pas ses meilleures pages !
Dans les confessions, le premier tome vaut bien mieux que le second.
C’est que la grâce de la jeunesse, et son ironie, nous rendent sympathiques ses défauts
Alors qu’il n’y a rien de pire qu’un vieillard qui geint, criant qu’on lui veut du mal !
Néanmoins, ainsi, vous paufinez votre personnage, et lui donner une substance et une couleur émotionnelle, qui n’est pas souvent fréquente sur agoravox.
Des fleurs de toutes couleurs, plus ou moins vives ou fanées, ça vaut bien un panier de chiffres
Ce qui n’est pas mauvais au niveau aussi de l’intéret et du marketting.
Les gens sont en carence de vitamine B, et d’émotions, et dépriment sous les statistiques
C’est ainsi que des auteurs deviennent à succés, sans jamais avoir rien écrit de bon.
Je ne dis pas pour autant que ce n’est pas votre cas
Mes propos ne sont pas trempés dans le venin
Mais un peu dans l’amusement, si l’on peut dire les choses ainsi.
Tout cela ressemble un peu à une commédie de Pagnol, où l’on s’apostrophe, où l’on joue à jouer des personnages.
« Beaucoup de bruit pour rien ! », quand au loup, il attend son article.
Animal assez fascinant, et qui a toujours fait beaucoup parlé. Pauvre loup, tué par le petit chaperon rouge. La meute est bel et bien un modèle d’organisation sociale dont nous devrions nous inspiré, au lieu de la déplorer.
La meute n’est pas un lieu de barbarie, mais un lieu de culture et de partage, avec des loies précises pour tous.
Sans doute somme nous plus loups que les loups.
Ne pas idéaliser non plus l’animal.
Ne pas oublier que beaucoup de cimetières des alpes possèdent des tombes mentionnant des gens tués par les loups. Souvent des saisonniers, endormis au pied d’une meule de foin, et attaqués par de vieux loups solitaires.
En général, le loup se tenait à distance de l’homme, mais il existe chez eux aussi des psychopathes, des fous, ayant quitté la meute, et se comportant en sauvage.
On a beaucoup idéalisé aussi les vikings !
La mode est de dire que c’était des marchands, des innocents se balladant avec un opinel à la ceinture juste pour couper leur poire à l’heure de midi.
Mais je m’égare, madame, il se fait tôt, il se fait tard
Il est temps que je m’en aille