Commentaire de Abou Antoun
sur L'architecture autrement
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Olivier,
Votre réponse quantitative me laisse à penser que vous ne pratiquez guère l’agriculture vivrière, ou bien de manière anecdotique.
En outre, les besoins élémentaires de l’homme dépassent largement la nourriture (logement, vêtement, chauffage, soins, éducation, etc.) lorsqu’on cherche des solutions durables à ces besoins on est obligé d’augmenter les surfaces attribuées aux familles (élevage, etc...). 7 hectares pour une famille cela paraît raisonnable.
En fait nos aïeux, avec des surfaces supérieures et des techniques biologiques (plus par nécessité que par choix) s’en sortaient difficilement.
Les rendements actuels dépendent de la chimie, du pétrole et de l’énergie nucléaire. Ces ressources épuisées, il faudra revenir à la traction animale et voir les rendements retomber à ce qu’ils étaient deux siècles auparavant .
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