J’aime bien les théories géopolitiques, géostratégiques, avec de grandes cartes et des grosses flèches rouges ou bleues, et des décomptes d’ogives, et la puissance délivrée...qui nous retomberait dessus, à cause du vent.
L’ONU est impuissante devant l’emploi (« éventuel », la bonne excuse !!) de gaz neurotoxiques en syrie, alors que c’est dans la charte des nations « zunies » et défini comme crime contre l’humanité.
Avec tout l’arsenal nucléaire qu’on veut, si les rousskis et les chinetoques s’y opposent, personne ne viendra au secours des syriens et de leurs copains.
Gazés comme des abeilles...malgré l’interdiction des produits chimiques.
Parce que, je te tiens, tu me tiens par la barbichette, et que la supériorité ne se mesure plus en kilotonnes, mais en fusées porteuses, électronique de détection et d’interception, sans compter l’intelligence et la compétence plus ou moins grandes des états-majors.
Il faut se protéger d’une toujours possible connerie, type coréens du nord, et on ne peut « évacuer » cette question du nucléaire, il vaut mieux avoir un 44 magnum dans la poche plutôt qu’un pistolet à grenaille.
Et, si une nation était acculée le dos au mur, éviter qu’elle ne déclenche le feu nucléaire en un geste suicidaire.
Si vis pacem, para bel homme, comme aurait dit fucius, cité par un intervenant, mis il ne faut pas seulement se préparer à une guerre intercontinentale, mais aussi à une guerre sur le territoire national.
Cela défrayait la chronique il y a qqs années, et s’appelait « la riposte du faible au fort »
Autrement dit infiltration, noyautage, sabotage, le terrorisme, en un mot, et son implication immédiate : le combat de rue...comme en syrie.
Et si on continue d’affaiblir l’armée, l’ennemi intérieur prendra facilement le dessus.....
Beaucoup de politiques n’ont rien compris au film, ils ne sont pas les seuls !!
Dernière question : qui y croit, et / ou a assez de fric pour se construire un abri anti atomique ?