J’ai du mal à vous suivre, l’auteur... Vous parlez de spiritualité mais vous jetez en quelque sorte le « bébé avec l’eau du bain »...
Je vous cite :
« Je n’ai franchement pas la force de t’expliquer que la grosse pierre cubique dans le sahara vers qui se prosternent des millions de musulmans n’a rien à voir avec le coran et qu’elle représente un symbôle idôlatro-paien de grosse vierge portant un niquab avec un enfant en forme de pierre noire que les pélerins viennent embrasser dans un socle en forme de vulve. »
D’après ce que j’ai constaté, toutes les religions ont leurs rites et ces rites se construisent autour de symboles qui permettent au croyant d’accéder à une « nouvelle naissance », soit le passage d’une étape à une autre...
Baptême, communion, bar mitsvah, rites initiatiques dans les tribus dites primitives... avec plus ou moins de symboles pour bien marquer dans les esprits ce passage..
et donc ce pélerinage, autour de ce qui justement symbolise la naissance (la vulve) n’est qu’un rite parmis tant d’autres, étape d’ailleurs incite le croyant à progresser spirituellement à devenir hadj, (cinquième et dernier pilier de l’islam)
Après ; chaque livre dit saint contient tous les « outils » pour accéder à différentes lectures ce qu’ont compris les kabbalistes et d’autres exégètes..
Les différentes approches (littérales ou non) ne sont pas mauvaises en soi, chacun évoluant à son rythme..
et pour finir je citerai l’un de ces exégètes dont je n’ai plus le nom en mémoire :
« Que l’on prenne soin de ne pas donner plus que l’intelligence de celui qui reçoit est capable de comprendre, de peur qu’il n’en résulte un dommage... »
Cela me semble à mon humble avis, la voie de la sagesse.