"Aujourd’hui d’ailleurs, c’est presque amusant de constater qu’il
n’existe plus aucun parti, NPA et extrême gauche comprise, qui refuse le
capitalisme en temps que système social.«
Pour Wesson qui ne connait pas (et ne veut pas connaître) les principes fondateurs du NPA ce petit extrait prouvant que le NPA veut metttre fin au capitalisme, rompre avec ce système d’oppression, et instaurer une société socialiste où les outils de production et d’échange seront entre les mains des travailleurs dans le cadre d’une économie planifiée... Ce qu’on appelle socialisme et qui est radicalement opposé au capitalisme.....
»En finir avec les crises implique d’en finir avec
l’exploitation, donc avec la propriété privée des principaux moyens de
production, d’échange et de communication, qui en constitue la base. Le
système financier, les services essentiels à la vie, les grandes
entreprises devront passer sous le contrôle des salariés et de la
population, qui en assumeront la propriété et en assureront la gestion
dans le cadre d’une planification démocratique. Libérées de la propriété
et de l’appropriation capitalistes, la production et la répartition des
richesses pourront bénéficier à la société tout entière. Se nourrir, se
chauffer, se loger, se soigner, s’éduquer, se cultiver, se déplacer
sont des besoins essentiels qui doivent être garantis pour toutes et
tous.
Le socialisme, l’écosocialisme, c’est le pouvoir des
travailleurs et travailleuses dans tous les domaines et à tous les
échelons de la vie politique, économique et sociale. C’est la démocratie
des producteurs/trices associé-e-s décidant librement et souverainement
quoi produire, comment et à quelles fins. Une telle réorganisation de
l’économie et de la société suppose un premier niveau d’émancipation du
travail, indispensable afin que les collectifs de travailleurs/euses et
de citoyen-ne-s puissent prendre réellement en charge la marche des
entreprises et la gestion des affaires publiques. Une réduction massive
du temps de travail, rendue possible par les progrès technologiques,
auxquels s’ajouteront la suppression du chômage et la répartition entre
toutes et tous du travail nécessaire, pourvoira à ce besoin. "