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Commentaire de Jacques Piétri

sur Les mollahs préparent-ils une Nuit de cristal ?


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Jacques Piétri (---.---.176.99) 30 mars 2006 18:27

Retour à la Une Historia non facit saltus

Jacques Piétri est un ardent défenseur de la liberté absolue de conscience, celle-ci ne pouvant être effective que dans la cadre d’une société laïque que ses ennemis actuels s’acharnent à détruire ou à pervertir. Tout le monde en prend ici pour son grade.

Depuis qu’il existe, l’Islam n’a jamais renoncé à conquérir le monde et à y instaurer la Oumma. Après avoir conquis, par les armes, la Péninsule Arabique, le Machrek et le Maghreb, il s’en est pris à l’Europe : Les Maures en Espagne, les Tatares en Russie et les Turcs à Vienne. Une bonne partie des Balkans est restée sous sa domination jusqu’à la fin du XXème siècle. Hunttington n’a pas inventé la « guerre des civilisations », l’Islam l’a pratiquée dès son émergence. Tout au long de leur domination de la mer Méditerranée, les Arabes ont capturé et exploité deux fois plus d’esclaves que les Occidentaux durant les trois siècles où ils ont exercés leur coupable industrie. Je n’ai jamais entendu dire qu’aujourd’hui les Musulmans se repentaient de leur non moins sinistre industrie, il est vrai qu’en Mauritanie ou en Arabie Saoudite, ils continuent à la pratiquer. Après ses échecs face au monde chrétien, l’Islam entend bien aujourd’hui prendre sa revanche. Ce faisant, il oublie qu’il n’a plus en face de lui la Papauté ou le Saint Empire Romain Germanique mais une culture syncrétique qui se veut à la fois l’héritière de la tradition gréco-judéo-chrétienne, vivifiée par les apports du siècle des Lumières.

Selon la civilisation dont les bases sont aujourd’hui menacées, la sphère du public ne saurait se confondre avec la sphère du privé, à l’évidence, la religion se situe, de manière univoque, dans la sphère du privé et non pas dans celle du public. Toute autre est la conception des théoriciens contemporains : « L’Islam, écrit Hani Ramadan, dans le Bulletin du centre islamique de Genève, est religion et État, foi et loi, doctrine et mode de vie... il nous enseigne un monothéisme authentique, évident, et aussi une loi qui constitue désormais un système complet reposant sur des sources authentiques applicables en tout lieu et en tout temps ».

Il faut faire preuve d’une grave myopie intellectuelle (maladie il est vrai très répandue chez ceux qui se baptisent pompeusement du titre « d’intellectuels de gauche ») pour ne pas avoir compris que la quatrième guerre mondiale était commencée depuis le 11 septembre 2001. (Elle avait débuté bien avant, mais il faut toujours en histoire avoir des repères. Chacun sait que le premier conflit mondial n’a pas commencé le 28 juin 1914 à Sarajevo et pourtant...). Il serait réducteur de ne percevoir dans cette spectaculaire opération qu’une sinistre et médiocre vengeance contre les États-Unis, il s’agit bel et bien d’une déclaration de guerre en bonne et due forme aux valeurs de la civilisation occidentale. Comme l’ont écrit, dès 2002, Alain Bauer et Xavier Raufer, dans La guerre ne fait que commencer, « le 11 septembre n’est pas une catastrophe mais une tragédie ».

Les démocraties ont gagné les trois premières guerres mondiales, la seule question qui est aujourd’hui à l’ordre du jour est de savoir si elles seront en mesure de gagner la quatrième. La faiblesse de la démocratie, mais c’est aussi sa force, c’est son esprit d’ouverture et de tolérance ; tout se passe bien en période normale, mais dès que la crise survient, le défaut de la cuirasse démocratique se fait sentir. C’est une constante des mouvements totalitaires de revendiquer pour eux-mêmes, tant qu’ils sont minoritaires, des droits et des libertés qu’ils s’empressent de supprimer le jour où ils deviennent majoritaires. Une autre faiblesse des démocraties est d’oublier les leçons de l’histoire, tant il est vrai qu’à chaque génération tout est à recommencer depuis le début.

L’histoire se répète en balbutiant, en hoquetant, en se parodiant ; l’histoire religieuse, qui dans le passé s’est toujours confondue avec l’histoire tout court, n’échappe pas à ce constat. En période de crise des valeurs et c’est aujourd’hui notre cas, on ne peut que condamner les complaisances envers le fanatisme. On est en droit de se demander si ces complaisances ne correspondent pas à la survivance d’habitudes historiques dont certains ont sans doute du mal à se débarrasser. Je me contenterai ici d’un seul exemple. Certes, l’Église catholique a, depuis un certain temps, perdu sa détestable habitude de brûler les gens qui avaient l’outrecuidance de ne pas partager ses dogmes. Depuis quelques décennies, elle multiplie les actes de « repentance ». Pour récente qu’elle soit, l’évolution est incontestable, mais est-ce l’Église qui a changé ou le monde ? Si le Christianisme dispose d’une fantastique capacité d’adaptation, son obscurantisme latent laisse parfois percer le bout de l’oreille, les réactions catholiques à propos de cette absurde affaire des caricatures de Mahomet sont révélatrices, mais elles ne sont pas nouvelles. On a sans doute oublié le comportement de l’Église catholique lorsque Salman Rushdie fut condamné à mort par les intégristes islamiques, pour avoir écrit Les versets sataniques, on était alors en droit de s’attendre à des réactions de compassion de la part des Églises chrétiennes, c’est le contraire qui se produisit ; la hiérarchie catholique exprima sa solidarité avec... les ayatollahs. Le Cardinal Decourtray, alors Président de la Confédération des Évêques de France, dénonça non pas Khomeiny, mais le malheureux Rushdie, « dont le livre, disait-il, est une offense à la foi. Une fois encore, les croyants sont offensés dans leur foi, hier les Chrétiens dans un film défigurant le visage du Christ, aujourd’hui les musulmans dans un livre sur le prophète ».

À cette occasion, le même cardinal Decourtray s’en prenait à la fois à Rushdie et au metteur en scène Martin Scorsese qui avait commis un film, La dernière tentation du Christ ,qui ne plaisait pas aux Catholiques. On se rappelle qu’un cinéma, qui projetait le film, avait été incendié, entraînant la mort d’un homme ; les Chrétiens sont toujours prompts à rallumer les bûchers ! Decourtray rejoignait dans ses propos ceux de l’Archevêque de New York, O’Connor, ce dernier avait estimé, lui aussi que le livre de S. Rushdie « offensait la foi », et il demandait aux Catholiques de ne pas le lire.

Le Cardinal Joseph Ratzinger, qui depuis a effectué une brillante carrière, inaugurant, en 1990, un congrès rassemblant, dans l’enceinte du Vatican, des spécialistes du cerveau, n’hésitait pas à déclarer dans son discours inaugural : « L’Église est dépositaire de la Vérité. Ses connaissances, elle les tient directement de Dieu ». J’entends bien que l’on est ici davantage dans le domaine de la doctrine que dans celle de la praxis, que la hiérarchie ecclésiastique est une chose et la masse des Chrétiens en est une autre, et qu’enfin il n’est pas charitable de « tirer sur une ambulance ». Au reste, mon propos est simple : On ne combattra pas l’Islam radical par une autre foi et une autre croyance mais par la raison, le bons sens et la répétition inlassable des valeurs telles qu’elles ont été établies par la Déclaration d’Indépendance des Etats-Unis, en 1776, et la Déclaration des Droits de l’homme de 1789.

Il ne sert à rien de se rassurer avec des formules, souvent entendues, telles que « le Christianisme est amour ! » ou « l’Islam est tolérant ! ». Pourquoi ceux qui tiennent ces propos auraient-ils davantage raison que les exaltés qui interprètent différemment la Bible ou le Coran ? Toute religion révélée est, par construction, porteuse d’intolérance et de fanatisme. Tôt ou tard, celui qui prétend détenir « la vérité » est tenté de l’imposer, pour peu que les circonstances s’y prêtent, à ceux qui n’ont pas, à ses yeux, la chance de connaître cette vérité.

En matière de croyances, qu’elles soient religieuses ou politiques, il y a une catégorie constante d’imbéciles, ceux qui savent et ne se contentent pas de croire. La croyance, tout comme la foi, sous-entend, en bonne logique, une part de doute. Personne de sensé ne dira, par exemple, je crois dans le soleil ou j’ai foi dans la lune, ce serait inutile, ce serait une tautologie, il n’est nul besoin de croire en quelque chose que tout le monde peut voir. Par contre, dire : « je crois en Dieu », peut se concevoir, puisque personne en effet, ne l’a jamais vu, c’est, dans ce cas, appartenir à la catégorie des croyants normaux. Par contre affirmer : « je sais que Dieu existe » est une absurdité. On peut appliquer la même observation pour les athées ; pour ma part et pour toutes sortes de raisons, je me contente de croire que Dieu n’existe pas, ne voulant pas courir le risque de passer pour un imbécile, je me garderai bien de dire : « je sais que Dieu n’existe pas ».

La tolérance n’est pas l’état naturel de l’humanité, le drame est que les religions du Livre ont aggravé la situation, les détenteurs de vérités révélées étant de redoutables prédateurs pour leurs congénères. Si, historiquement, l’intolérance organisée, systématique, commence avec le Christianisme, celui-ci s’est développé sur un substrat intolérant par essence : le monothéisme, l’intolérance n’a fait qu’y plonger ses racines. Freud a montré que chaque fois que triomphent les religions monothéistes l’intolérance se renforce ou plus exactement devient consubstantiel à la nouvelle culture. « Avec la croyance en un Dieu unique naquit d’une manière quasi inévitable l’intolérance religieuse qui était demeurée étrangère à l’Antiquité ». Yahvé dit de lui-même qu’il est un « Dieu dévorant, un Dieu jaloux », (Deut. IV 24). il interdit aux Hébreux d’avoir le moindre contact, la moindre relation, a fortiori sexuelle, avec les peuples voisins, Hittites, Amorites, Cananéens, etc... il précise : « Vous démolirez leurs autels, vous briserez leurs stèles, vous couperez leurs pieux sacrés et vous brûlerez leurs idoles” (Deut. VII 5). Les populations civiles ne sont pas épargnées par la fureur du Seigneur qui commande à Saül d’exterminer les Amalécites. Depuis cette époque, beaucoup d’eau à coulé dans la vallée du Jourdain. Dès le règne d’Auguste, les Juifs avaient renoncé à tout prosélytisme, la destruction du second Temple et la dispersion du peuple d’Israël à partir de l’an 70 l’a conduit à se faire accepter et non pas à imposer ses lois aux goyim. À la différence des deux autres religions du Livre, le Judaïsme n’a jamais été une religion d’État, à l’exception dune période à la fois courte et très ancienne. Depuis deux mille ans, le Judaïsme s’est caractérisé par sa diversité et il s’est illustré par une palette où figurent toutes les nuances de la doctrine, de la foi et de la pratique ; Comme chacun le sait, le symbole de cette tolérance et de cette ouverture est celui de la tente d’Abraham ouverte aux quatre point cardinaux.

Le polythéisme ne garantit pas la paix, les Indous, les Japonais ou les Chinois qui ont des milliers de dieux, ont atteint des sommets dans leurs activités massacreuses, il est vrai que ce n’était pas toujours pour des raisons religieuses. Il n’en demeure pas moins que la religion a dans l’histoire constitué un puissant moteur pour justifier les conquêtes et les massacres. Régis Debray, dans « Le feu sacré, Fonctions du religieux » (Collection Folio) fait l’observation suivante : « Le carnage est une preuve d’existence, et la mort de l’impie, un argument logique. C’est la démonstration par le sang. Le fait que les cavaliers de Mahomet aient conquis presque tout le Moyen-Orient en l’espace de vingt ans, et en moins d’un siècle liquidé toute opposition armée entre l’Indus et le détroit de Gibraltar, a assuré plus que le prestige, la crédibilité d’Allah. « Je tue donc je suis ». (C’est moi qui souligne).

Dans le domaine de l’intolérance, tous les records sont aujourd’hui pulvérisés par les intégristes musulmans, il serait fastidieux de multiplier les exemples, on se contentera d’en citer deux, l’un récent, l’autre un peu plus ancien. L’un et l’autre montrent, jusqu’à la caricature, que l’histoire n’en finit pas de bégayer. Les nazislamistes, dont la culture historique est souvent limitée, n’échappent pas à la règle, leurs phobies et leurs haines se calquent sur celles du début du siècle précédent.

L’article 17 de la Charte du Hamas (on ne saurait trop recommander la lecture intégrale de cet intéressant libelle) souligne que « Les francs-maçons, le Rotary et autres groupes d’espionnage ne sont que des cellules de subversion et de saboteurs. Ces organisations ont des moyens financiers énormes leur permettant de jouer leur rôle, à savoir la réalisation de l’objectif sioniste et l’approfondissement des concepts qui servent l’ennemi ». Si l’on n’est pas assez édifié, l’article 22 en rajoute : « Avec leur argent, ils ont mis sur pied des sociétés secrètes comme les francs-maçons, les clubs Rotary, les Lions et autres dans différentes parties du monde, afin de saboter les sociétés et servir les intérêts sionistes ». J’entends déjà les bonnes âmes se récrier et affirmer qu’il s’agit d’une rhétorique guerrière que l’on doit replacer dans un cadre conflictuel, or le Hamas innove peu, on pourrait multiplier les citations similaires et déjà ancienne et j’en viens à mon second exemple. Le 6 janvier 1992, un périodique algérien, intitulé sans rire l’Éveil, dénonçait, sur une double page, la « collusion entre le Sionisme et la Franc-maçonnerie », laquelle n’est rien d’autre qu’une « religion dont les visées occultes demeurent la corruption et l’asservissement de l’humanité ». Le même folliculaire invoquait l’outil favori des antisémites, le Protocole des Sages de Sion, machine de guerre mitonnée au début du siècle précédent dans les officines de l’Okhrana. Ce sinistre opuscule circule depuis sur Internet et il a fait l’objet de feuilletons largement diffusés par les chaînes arabes. Dans ce même journal, un autre fanatique illustrait bien ce qu’il en est de la laïcité dans le monde arabe (le mot laïcité étant à peu près intraduisible en arabe) : « L’adage occidental - rendre à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu - n’a pas sa place dans la conception islamique de la société. Tout appartient à Dieu et César lui-même appartient à Dieu ». L’Islam, comme le rappelait si bien ce folliculaire, « signifie étymologiquement soumission, celle-ci doit être totale et inconditionnelle à Dieu et à sa foi révélée », c’est bien pourquoi « ne peut rester musulman celui qui s’est converti à la laïcité, cette nouvelle religion qui prône la séparation de la Foi et de la Loi ».

Il n’est même pas certain que ces bons apôtres aient lu Mein Kampf, ou les Libres propos du dictateur nazi, ils s’y seraient pourtant retrouvés. Dans l’esprit souvent confus d’Adolf Hitler, les Juifs et les francs-maçons faisaient partie de la même engeance, promise à la destruction : « Quelle hypocrisie répugnante de la part de ce fieffé franc-maçon de Roosevelt, disait-il, c’est un cerveau malade...typiquement hébraïque ». Sur le plan de l’anti-maçonnisme et de l’antisémitisme, Staline n’était pas en reste par rapport à Hitler, le codé pénal prévoyait la condamnation à vingt-cinq ans de Goulag pour appartenance à la Maçonnerie. Sur l’antisémitisme, les choses étaient plus subtiles. Il n’y a en effet jamais eu officiellement de politique soviétique antijuive. Dans les faits, il en va autrement, Staline s’est livré, à de nombreuses déclarations anti-sémites, sa politique de liquidation des chefs historiques du Bolchevisme en a été marquée. Il avait, en 1940, tué plus de Juifs que son complice Hitler, mais il est vrai que ce dernier s’est largement rattrapé par la suite. Le pseudo complot des « Blouses blanches » est l’illustration sanglante de l’antisémitisme viscéral du dictateur soviétique. Cela commence en 1951 lorsque Staline entreprend de démanteler ce qu’il appelle le « complot judéo-sioniste » en liquidant les membres du Comité antifasciste juif. Pour mener à bien son projet, il nomme Rioumine vice-ministre de la Sécurité qui écrit à Malenkov : « Les Juifs sont bien plus dangereux que toutes les bombes atomiques et à hydrogènes réunies. Si on ne les arrête pas à temps, ils vont forcer toute l’humanité à cracher le sang ».

On s’étonne parfois de voir aujourd’hui de bons esprits catalogués « à gauche », pratiquer un antisémitisme frénétique déguisé en anti-sionisme ; en ce domaine, comme dans bien d’autres, nil novi sub sole, la droite n’a jamais eu le monopole de la haine des juifs. On connaît les réticences de Jules Guesde, leader de l’aile gauche des socialistes, à s’engager dans l’affaire Dreyfus, on connaît moins ce qu’écrivait Proudhon dans ses carnets du 24 décembre 1847 : « Ce n’est pas pour rien que les Chrétiens les ont appelés déicides. Le Juif est l’ennemi du genre humain. Il faut renvoyer cette race en Asie, ou l’exterminer... Par le fer, ou par la fusion, ou par l’expulsion, il faut que le Juif disparaisse ».

Chacun sait qu’entre l’anti-sionisme et l’anti-sémitisme, il n’y a que l’épaisseur d’un cheveu, le problème étant que, la plupart du temps, ce cheveu n’existe pas. Comme au temps de Munich, on entend beaucoup les zélateurs du politiquement correct « victimiser » la racaille nationale et internationale. Certains d’entre eux seront les premières victimes de leur aveuglement. Ils n’ont pas compris que le troisième totalitarisme, le totalitarisme vert, était en marche, succédant au totalitarisme brun et au totalitarisme rouge.

Je demandais un jour à un ami libanais : « Crois-tu que l’Islam peut se dissoudre un jour dans la civilisation occidentale ? » Il me répondit : « Cher ami, le problème central, c’est que l’Islam ne peut se dissoudre dans aucune civilisation ; nous autres Moyen-Orientaux nous le savons depuis des siècles, très exactement depuis Aroun El Rachid, qui, il y a plus de mille ans, échoua à civiliser l’Islam ».

Jacques Piétri pour LibertyVox

Eléments biographiques :

Jacques PIÉTRI, 68 ans, diplômé de l’IEP (Sciences Politiques) Paris, diplômé d’Etudes Supérieures (DES) de Droit Public, maîtrise de Sciences Économiques. Il fut :
- Chargé d’études, puis Directeur d’Etudes et Directeur de Division à l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme de la Région d’Île de France, (IAURIF)
- Professeur à l’Université de Paris VIII
- Administrateur de l’Office d’HLM des Hauts-de-Seine
- Chef de la Mission Franco-Libanaise pour l’aménagement de la Région Métropolitaine de Beyrouth.
- Directeur d’une Société d’Economie Mixte et d’un GIE d’Etudes.
- Consultant en économie urbaine et régionale.
- Expert international pour ECTI

Ouvrages publiés :

- Les Hommes de Foi, Roman (Éditions Romillat, 2003)
- Le Sacré et la Raison, Essais (Éditions À L’ORIENT, 2001)
- De L’Humanisme à l’Humanitaire, Essais (Éditions À L’ORIENT, 2000)
- La French Doctor, Théâtre, (Éditions DU LAQUET, 2000)
- Conception, organisation et présentation du Colloque : Que signifie aujourd’hui le mot humanisme ? Avec, notamment, la participation de Jean-Christophe Rufin, Tzvétan Todorov, André Comte-Sponville... (Éd. A L’ORIENT, 2002)
- Les Communes et l’Emploi (Éditions de l’Atelier, 1982)


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