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Commentaire de Roungal’ashinga

sur Les vertus de la fessée


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Rounga Roungal’ashinga 28 août 2013 21:52

Je suis très déçu. Vu le titre, je m’attendais à ce que l’article parle d’érotisme, alors qu’il parle d’un truc beaucoup plus chiant.
La fessée est vraiment un plaisir subtil, à pratiquer à la main ou à l’aide d’instruments (martinet, cravache, « paddle »...). L’important est que les partenaires se mettent d’accord sur les limites à respecter. Certains font juste rougir légèrement la peau, d’autres vont jusqu’à laisser des marques qui restent des jours. Quoi qu’il en soit, il est impératif de s’arrêter dès que du sang commence à couler. Un safeword, c’est à dire un mot décidé à l’avance par les partenaires, peut être utilisé lorsque le/la fessé/e n’en peut plus. La séance s’arrête alors immédiatement. Pour plus de piquant, certains peuvent même aller jusqu’à s’attacher, ce qui donne à celui qui subit une impression de soumission supplémentaire, qu’il sublime en excitation sexuelle.
Dans certains hôpitaux psychiatriques scandinaves, les patients sont fessés quotidiennement à l’aide d’une canne. Il n’y a aucune connotation sexuelle dans ce traitement, dont les résultats sont étonnamment positifs. Il semble que la décharge d’endorphine produite lors de la fessée provoque une impression de bien-être après la séance. Peut-être également que ceux qui n’arrivent pas à digérer une culpabilité enfouie sont soulagés d’être enfin punis de la faute qu’ils refoulent et n’arrivent pas à se pardonner.
Donc oui à la fessée, et non à l’intervention en Syrie.


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