L’insondable nombre d’Or :
http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/LCdeStMartin/Desnombres/Des_nombres.pdf
Formules numériques
Première formule
Quarrez d’un nombre.
Additionnez théosophiquement le nombre qui précède celui-ci d’une unité.
Additionnez arithmétiquement les deux sommes.
Vous aurez le carré de votre premier nombre.
Exemple : 6 x 6 = 36
Addition théosophique de 6 (la somme des nombres 1.2.3.4.5.6.) = 21.
Addition théosophique de 5 (la somme des nombres 1.2.3.4.5.) = 15.
21 + 15 = 36
Deuxième formule
Multipliez par 8 un produit théosophique.
Joignez 1 au produit.
Extrayez la racine carrée.
Prenez la petite moitié de cette racine.
Vous aurez le nombre radical du produit théosophique.
Exemple : 21 produit de 6 (V. l’exemple ci-dessus),
x 8 = 168 + 1 = 169
= 13 13/2 = 7 + 6
6, petite moitié, = le nombre producteur théosophique.
Troisième formule
Additionnez théosophiquement un nombre quarré.
QUARREZ LA SOMME.
Vous
avez un produit qui contiendra la somme des cubes de tous les nombres
éléments du quarré que vous aurez additionné théosophiquement.
Exemple : Quarré de 3 = 9.
Additionné théosophiquement 45 (somme des chiffres 1.2.3.4.5.6.7.8.9.) x 45 = 2025.
Cubes de
1...................
1
2...................
8
3...................
27
4...................
64
5...................
125
6...................
216
7...................
343
8...................
512
9...................
729
2025
On
peut trouver une infinité de ces sortes de formules dans les nombres ;
mais l’utilité en est médiocre en ce que l’on n’en connaît pas
l’application.
D’ailleurs,
il y a à cette marche un inconvénient, c’est d’astreindre tous les
nombres à la même opération, pendant qu’il en est qui doivent s’y
refuser, comme dans le dernier exemple, il a fallu regarder 8 comme le
cube de 2 ce qui répugne à l’esprit des nombres quoique cela soit
conforme à l’esprit arithmétique.
Enfin
cela me paraît faire descendre les nombres dans la région du calcul
vulgaire, où les géomètres et les mathématiciens trouvent à s’avancer
beaucoup dans le calcul des effets et des mouvements des êtres, mais
nullement dans la science des raisons et de l’esprit de ces êtres.
Aussi
est-on très savant dans ce siècle sur les révolutions des astres, sur
leurs distances, sur les lois des réfractions de la lumière, sur les
proportions des temps et des vitesses, etc… ; mais on n’a pas fait
encore le premier pas pour nous apprendre la raison la moindre de ces
merveilles ; et c’est je le répète, parce qu’on ne s’occupe que du
calcul des raisons.
Cependant ayons de l’obligation à celui qui a trouvé les formules ci-dessus.
Cela prouve de l’intelligence et un cerveau qui s’occupe.