pierre, j’ai bien compris votre pensée.
j’ai simplement dit, appuyant votre idée, que tout a été fait pour qu’en irak comme en palestine, on soit arrivé à la situation qui est la leur aujourd’hui.
en ce qui concerne la palestine, le hamas « refuse de reconnaître Israël » et est en guerre ouverte avec le fatah.
mais après oslo et la reconnaissance de l’etat israelien, est ce qu’il y a eu réciprocité ?
alors demander aux frères ennemis de se retrouver pour sous tendre à la création du pays, bien sur ! mais je crains que meem réunifiés, je dirais surtout réunifiés, les israeliens et les américains trouveront toujours une raison pour boycotter les différents plans de paix. car la paix n’est pas inscrite dans le programme israelo-américain. en tout cas pas encore. vous vous posez des questions et je me les pose. c’es tpeut être normal mais pas du tout réaliste.
après des élections tout a fait légitimes, le hamas a été désavoué. et pourtant israel même est bâti en tant qu’état juif et il n’y a pas de séparation entre religion et état. sa fondation aussi a été précédée d’actes terroristes. même son gouvernement est lourd de partis d’extrême droite
pourquoi dans ce cas là, israel bénéficie d’une complaisance internationale et hamas disqualifié d’office.
quand au speticisme des nations unies, des observateurs chevronnés, en un mot, des puissancesqui n’ont jamais ignoré qu’en laissant faire tout ce qu’elle voulait à la tendance la plus dure des israeliens, on l’encouragerait au point d’arriver de manière à peu près inéluctable à la situation où on en est aujourd’hui, leurs échecs répétés n’ont permis qu’à montrer leur plus grande lacheté. et ils sont bien les derniers à pouvoir demander quelques chose encore aux palestiniens.
la véritable qestion à mon avis est, combien de temps encore, doit-on tolérer la lacheté des puissants et leur cynisme.
mais à cela pierre, même si vous et moi pouvons y répondre, nous ne serions gère entendus...