La réponse est en effet toute simple : non, nous n’acceptons pas la guerre chimique.Ni nucléaire d’ailleurs. Tiens ça me fait penser : nous les peuples, nous n’acceptons pas la guerre... c’est tout simple. Il faudra donc trouver autre chose, c’est tout c... Vous savez, posez donc toutes les limites que vous voulez, ça (vous) fait peut-être du bien. Mais ne croyez pas trop qu’il existe des guerrees justes. Et demandons-nous qui nous sommes pour mettre la main dans l’engrenage, et qui nous y pousse. On nous dit de penser que la limite est franchie ? Ah ? Depuis très très longtemps alors, par des dirigeants (ne croyez pas que je ne pense qu’aux USA) et d’une manière contre laquelle nous citoyens du monde dit libre ne sommes pas de taille à lutter. Article intéressant dans Agoravox, dont le titre évocateur est :
« Bilan des bombardements américains : un million de morts en moins d’un siècle ». S’il en a résulté la paix dans le monde, faites-moi signe. Si vous estimez que cela aurait été pire en choisissant d’autres solutions, n’hésitez pas à le démontrer (mais n’espérez pas me convaincre de la vertu de la guerre). Et puis, les guerres du futur, si nous réchappons à celle de demain, feront usage de moyens qui ne seront peut-être pas chimiques, mais qui rsquent bien de vous déplaire tout autant, à juste titre n’en doutons pas.