Commentaire de Christian Labrune
sur Lettre ouverte à Monsieur le Président de la République française
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Thierry Saladin
En 81, j’avais voté pour Mitterrand (j’ignorais encore qu’il avait été décoré de la francisque), après beaucoup d’hésitations. J’avais compris le soir même des résultats, du côté de la Bastille, que j’avais fait une connerie monumentale, la plus grosse erreur politique de mon existence. Ensuite, je n’ai plus voté, sauf pour éviter l’élection d’un candidat FN dans le 20e, il y a fort longtemps, et aux dernières législatives, pour empêcher qu’un candidat socialiste puisse être encore élu au premier tour dans le 19e.
Entre la peste et le choléra, on ne choisit pas, et il n’y a aucune forme de courage à consentir d’être pris pour un con.
Derniers commentaires
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19/09 13:44 - Thierry SALADIN
@ Emmanuel Aguéra, ainsi qu’à tout le monde, Ma lettre ouverte du 30 août 2013 adressée (...)
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03/09 17:12 - Thierry SALADIN
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03/09 15:17 - Christian Labrune
« « et il n’y a aucune forme de courage à consentir d’être pris pour un con. » Vous (...)
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03/09 14:42 - hauteville
Il n’a rien dit de tout cela ! Vous lui prêtez des propos qui ne sont pas dan son texte. (...)
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03/09 14:33 - Thierry SALADIN
@ Christian Labrune, Vous écrivez :« En 81, j’avais voté pour Mitterrand (...)
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03/09 14:14 - Deneb
Christian : vous avez raison, si Israël n’existait pas, ils auraient déjà fini par (...)
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