Comparée aux réactions primaires et parfois violentes de certains groupuscules d’extrême-gauche qui bénéficient de la bienveillance du gouvernement socialiste, lequel invoque, pour ne pas leur interdire de manifester, le droit à la tolérance dans notre démocratie, on a envie de sourire, voire de se révolter, tant la contradiction, le parti pris et l’injustice sont criants, au motif de « préservation de l’ordre public ».
Voici un témoignage concernant une des nombreuses étapes des Veilleurs :
- Nous avons été très rapidement entourés de très près par plus d’une vingtaine d’individus très reconnaissables, particulièrement menaçants et qui manifestement ne nous voulaient pas du bien. Ces individus, clairement, attendaient le moment propice pour se jeter sur un certain nombre d’entre nous et nous faire, comme on le dit familièrement, « la peau ». Heureusement les forces de police ont parfaitement réagi et sans leur efficacité, je crois que nous aurions passé un sale quart d’heure. Il est tout à fait intolérable que des individus s’organisent dans le but d’agresser gratuitement et le plus violemment possible les gens pacifiques que sont les Veilleurs. Cette détermination prouve que ces groupes, particulièrement violents et ne reculant devant rien, sont évidemment tout à fait en marge de la République et de ses lois. -
Alors que le gouvernement socialiste a su dissoudre récemment le Printemps Français, qu’attend t-il pour dissoudre de tels groupes d’extrêmes-gauche qui portent atteinte aux valeurs de la République ? Ces groupes sont notamment Antifa, Antifa75, La Horde avec le soutien non avoué d’un certain nombre de Médias et de politiques…
Ceci dit, d’autres groupes tout aussi permissifs (selon les codes du médiatiquement correct, on dirait plutôt « progressistes ») agissent sur des motivations tout aussi radicales, comme les LGBT.
Aussi, je suis prêt à parier que la Préfecture de Paris n’interdira pas la manifestation des LGBT organisée par les homosexuels et prévue le 8 septembre devant l’ambassade de Russie à Paris 16ème au motif de « préserver l’ordre public »… Alors, pourquoi deux poids deux mesures ? La France deviendrait-elle une dictature, où les droits de « l’homo » valent plus que les droits de « l’homme » ? Je le crains…