Depuis la dentellière, bien de la dentelle est passée sous les ponts.
Finalement, les années 60 et 70, une époque où la lutte des classes était encore très vive dans le discours, représentèrent tout de même pour tous les français, pratiquement, un espoir de nivellement des classes.
Il y eut un doute sur le consummérisme, en même temps que les valeurs de la société, comme on disait à l’époque, mais cet enrichissement, ouvraient à beaucoup les possibilités d’un affranchissement.
Pas de différences de salaires démentes comme maintenant.
L’échelle ne va gère plus loin que de 1 à 10, même pour les patrons, et les sportifs les plus prestigieux.
Les sportifs médaillés remontent les champs élysées, dans des 4 L à toit ouvert....
C’est une époque où les enfants d’ouvriers sont très représentés sur les bancs de l’université, comme jamais plus ils ne seront plus !
Cet anticyclone des acores, qu’on croyait à demeure sera quelques années plus tard déjà plus qu’un souvenir, la crise aidant.
Annie Ernault, dans son livre « les jours » a très bien parlé de cette époque.
La fac n’est pas une impasse, elle ouvre les portes à un travail, à l’enseignement. Beaucoup profiteront à plien de cet ascenceur qui sera peu à peu liquidé, au fil des années 80.
Mais pour l’heure, bien des jeunes gens cassent cette barrière de classe, et jouent le scénario de la dentellière, plutôt dans le cercle familiale, où tous à coup, leurs valeurs et leurs façons d’intellectuels les mettent un peu en marge de parents fiers de leur progéniture.
Actuellement, l’esprit réformiste et d’ouverture, qui était dans les moeurs à cette époque, est bien terminé. La morgue et l’affairisme ont fait leur retours comme jamais, nous ramenant carrément au clivage noble- tiers état d’avant la révolution française.
Les situations de confort liés au capital et à la naissance, permettent d’augmenter les différences sociales, jusqu’au point de rupture limite qui est celui de la société actuelle. Une novlangue insipide distillée par les dirigeant, autant de gauche que de droite, est en faite l’articulation du pouvoir de l’argent.
La réforrme n’existe pas !
Tous les boulot intéressants, de prestige, et à forte valeur ajoutée, sont la propriété quasi exclusive d’une mononclatura qui remet les clés de la ville à ses gosses....Le domaine du cinéma est parfaitement révélateur de cette monopolisation, dont les médias, se battent constament pour illustre le bon droit.....Gamin de Dutronc, de Gainsbourg, de Birkin, de Deneuve, de Chedid, de Souchon, de Delon, et j’en passe tant et tant qui n’ont pas besoin de faire l’école d’infirmière....Lou Doillon, Romahne Boringher..
.Le couple Bhoringer, père et fille, se sont particulièrement distinguées, en tant que membres jury, votant pour lou Borhinger, et son scénario « Putain de lune » qui a été élu....Où est le mal ?
Ces gens sont naturellement si doué, que le magazin Lui, qui vient de faire son retour, a donné un crénau de playmate à Léa Seydoux, ou sourire si charmant. Léa Seydoux, actrice, à la tête de toutes les unes, petite fille tout de même de Jérome Seydoux, le président de Pathé.
Mais je m’égare dans les salles obcures !
Retournons sur la grand place :
Quid des taxations des flux économiques vers les paradis fiscaux ?
Le gouvernement à baissé le niveau de rénumération du livret d’épagne, pendant qu’il fillait ces milliards de placement aux banques, sans contrepartie, les laissant même fixer un peu le taux d’intéret de leurs prêts........
Les paysans de la chanson de ferrat « la montagne » ont bien gagné la ville, mais s’ils mangent toujours du poulet aux hormones, même en le voulant, ils ne sont même plus fonctionnaires, en attendant une retraite qui recule au fur et à mesure qu’ils avancent.
ils pointent au chom’du, comme on disait avant.
Quand à la leur barraque en pierre, et ses murets, perdue dans la garigue, elle a été acheté une bouchée de pain à la bonne époque, par quelques étudiants en rupture, un peu Mao soi disants, mais finalement aussi malin que papa pour faire des bonnes affaires.
Même le vin, n’est plus une horriblie piquette, et est vendu au verre, dans des bars de dégustation branchée.
On peut dire que tout la vision sociale, et politique qui faisait le ciment du pays, a disparu.
Ce n’est plus que de la culture d’entreprise, auquel on demande aux pauvres d’adhérer, tout en les cultpabilisant.
S’ils n’ont pas de boulot, c’est qu’ils ne sont pas assez performants, qu’ils ne se forment pas assez !
Le loto comme rêve commun, voilà la vision des horizons radieux pour les gueux.
Les autres.......
Mais le scénario de la dentellière n’existe plus même, de nos jours. ...
Ce jeune couple n’ira pas jusqu’à l’échec, puisqu’ils ne sen rencontrerons même pas !
Pourquoi ne pas faire un remake
Pourquoi ne pas donner le rôle de la cruche à Léa Seydoux....
Une excellente actrice au demeurant, dont on ne peut se passer, et dont on ne voit pas pourquoi un tel rôle lui échapperait.