Bonsoir Fatizo,
la part du doute, ouais, très importante la part du doute,
c’est pourquoi dès que nous nous fumes rencontré, j’ai lu vos écrits,
à ce jour, la quasi totalité et le sujet n’est pas à mettre en doute.
Vos idées sont louables, vous aimez le cinéma, l’art, montrez vos valeurs
et vos rancoeurs, rien à redire là-dessus et du coup, rien à dire tout court.
Si
j’étais ce que vous appelez un ’troll", j’aurais trollé depuis bien
longtemps vos récentes pages j’imagine, ainsi que mon double présumé
l’aurait fait, et si vous étiez un mauvais bougre vous auriez employé le
mot ’troll« au moins une fois dans cet article, mais voilà, ni de
»troll« , ni de »vilain bougre", juste des gens qui ont le temps de
perdre le leur, pendant que tout un monde s’est arrêté, là, bien au
centre de votre billet, enfouit en deux mots : « Populations hostiles », un problème d’entente : « Guerre inutile et guère utile ».
Chacun son style pour le dire, elle a simplement dit : « Faut pas y aller en Syrie ».
L’histoire est vraie, surtout la sienne. 1976 vous disais-je, pour manipuler le cortège.
Mon récit se devrait d’être amputé de votre nom et des nos querelles, d’autant que la suite fut encore plus drolatique, mais ce sera un café où l’on pourrait se croiser,
et en toute courtoisie donc, merci pour cet article, j’applaudis.
Vous ne me trouverez jamais à venir « troller » sur vos fils, tantôt un p’tit mot,
parfois de l’humour (important l’humour), pas de méchanceté, peu rancunier,
alors pas de mauvais mots, rien de rabaissant, ’tension au langage,
le monde a besoin de partage, de paix et d’humour.
Bonne soirée.
P.S : Le ressenti, l’esprit, les mots, sont bien plus justes que les sondages et les opinions.