La caractéristiques des grands personnages qui ont une valeur devant l’Histoire, c’est de s’être opposé au conformisme de leur temps.
Ainsi Cervantes contre les niaiseries de la chevalerie, ainsi Molière contre les Dévots et les Médecins, ainsi Stendhal contre les gros bourgeois dégénérés de la Restauration...
Le propre des scribouillard et des médiocres, c’est de croire avoir du talent en faisant de la prose anti-dévots avec trois siècles de retard (faux-intellectuels gay-friendly) ou de l’anticommunisme 20 ans après la chute du communisme (les journalopes incultes du Libé, de l’ImMonde et du Figaro).
Dieudonné, Philippe Muray, Soral et quelques autres sont ainsi les vrais talents de notre époque. En revanche, les étrons comme BHL, les scribouillards comme Jofrin, Thréard, les « best-sellers » obligatoires qui sont mis en librairies, tout cela sera oublié et l’on peut déjà se torcher avec... D’ailleurs, tout ce qui est sélectionné par les éditeurs, par définition, ça ne vaut rien, puisque le choix se fait sur le conformisme et l’adhésion à l’esprit du temps.
En me débrouillant bien, même moi je passerai moins inaperçu dans l’Histoire de notre temps qu’une sous-crotte comme Comte-Sponville ou un commercial à 2 balles comme Hulot.