Désolé, mr l’auteur... quand aucun des arguments que vous citez contre l’entrée de la Turquie dans l’UE ne semblent être acceptable a vos yeux, il en reste un que vous oubliez : le choix !
Les Français et d’autres Européens font un choix, en quoi faudrait il qu’il soit moins bon que celui que vous defendez ?
Expliquez moi en quoi, le triangle Russie/Chine/Iran reussirait il a s’entendre entre eux et avec, en plus la Turquie, pour etre une menace pour nous, Européens ? Serions nous si faible qu’il n’y aurait d’avenir pour l’Europe qu’a travers la Turquie ?... et pourquoi ne devrions nous pas faire rentrer le Chili et l’Argentine dans l’UE sous pretexte de contrebalancer le futur pouvoir du Bresil ? ou le Bangladesh, riche de millions de jeunes pour equilibrer l’ogre economique indien et le Pakistan islamique ?
Tout ce que vous affirmez, qui n’est pas plus verifiable que ce que vous rejetez, n’est que votre position, votre choix !
Et a cause de votre vision qui n’est pas partagé par la majorité des français, vous nous assenez que les hommes politiques doivent faire fi, au nom d’une vision d’avenir et de vérité prémonitoire, de la volonté du peuple.
« » Allez, zou, les veaux ne comprennent rien, moi je sais tout, bienvenue la Turquie !« » ...
Ce n’est pas un peu integriste ça, en plus d’être dictatorial ?
S’il est un point sur lequel je vous suis, c’est la manière avec laquelle nous nous comportons avec la Turquie. Il me semble inacceptable de la laisser dans le doute, de la trimbaler d’exigence en convergence, bref d’être aussi inconsistant avec elle. C’est un grand pays et le minimum de respect pour elle, est de l’informer clairement : c’est non, au moins maintenant, et peut être on y reviendra dans 15 ans !