« Attention...Si rien n’est fait, on continue à engendrer la désespérance et ses conséquences »
Nos politiciens vous répondraient : « y alors ? Et quelles seraient donc ces fameuses conséquences, nous savons que tant que le peuple à sa petite gamelle de »nourriture« la révolution est neutralisée ! Ce que nous voulons c’est une société d’esclave et nous sommes sur le point d’y parvenir, depuis quand le bien être d’un esclave est une priorité ? »
Voilà dans leur société idéale ce à quoi doit ressembler l’individu composant la masse :
1 - Doit travailler 10h par jour.
2 - Doit être payé le minimum (plus de smic), juste de quoi payer son loyer, sa nourriture bas de gamme et autre facture de sa vie de con-sommateur(oublier les vacances et autre distraction, totalement inutiles pour un esclave).
3 - Doit être interchangeable facilement (pouvoir le virer sans préavis ni raisons), le système le maintiendra en survie (tickets alimentaire) en vue de sa prochaine utilisation.
3 - Doit partir en retraite à 70 ans (sachant que la longévité du nouvel esclave n’excédera pas 68 ans), mais il devra quand même cotisé tout sa vie.
Cette individu constituera la masse (90% de la population) qui permettra émergence d’une société en bonne santé, d’entreprises en bonnes santé, et d’esclavagistes (10% de la population) en bonne santé également.
Modèle testé actuellement en Allemagne, apparemment les Allemands en redemandent.