Oui, en effet, Homo Florensis se situerais plutôt quelque part entre Erectus et Sapiens. Seulement il diffère de nous, hormis la taille, uniquement par quelques os de proportions différentes.
Mais les différences apparaissent parfois sur des critères insoupçonnés. La disparition des poils pourrait être un avantage contre les parasites. Hors si ceux-ci ne sont points mortels (encore que), c’est surtout la sélection sexuelle qui a joué. Un partenaire poilu qui se gratte tout le temps n’est pas très sexy. Cette forme de dégoût envers les poils persiste encore de nos jours.
Dans la sélection, beaucoup d’éléments en apparence uniquement esthétiques sont en réalité la manifestation extérieure d’une bonne santé. Car la beauté requiert beaucoup d’énergie vitale à mettre en oeuvre. De cette façon, certains mâles se mettent volontairement en danger pour prouver leur capacité à surmonter un danger.
Or, bien que ces comportements suicidaires paraissent contraires à la théorie de l’évolution, ils sont en fait des stratégies de reproduction.