Quand j’étais petit, nous manquions singulièrement de reconnaissance. Sur nos murs de banlieue, on pouvait lire, à des dizaines d’exemplaires : « US Go Home ».
En dehors de cartouches de cigarettes et de whisky à vil prix, c’est vrai que nous n’avions pas trouvé beaucoup d’intérêt à leur occupation de fait.
Et ce fut un grand bonheur quand De Gaulle les a foutus dehors à grands coups de pied dans le cul.
Mais, sortis par la petit porte, ils sont rentrés par la fenêtre, grâce aux young leaders, entre autres traitres, qui forment un bon pourcentage du gouvernement.
Alors, j’invite tous les pays du monde, devant un état qui est devenu un déni et une insulte à la démocratie, à répéter après-moi : « US, go home, et restez-y, une bonne fois pour toutes ».
Trouvez-vous des de Gaulle, des Castro, des Chavez, mais mettez tout ce monde de ^parasites et d’assassins dehors, et arrangez-vous pour traîner tous leurs représentants devant les tribunaux pour crime contre l’humanité.
Cela commence avec la Bolivie, un petit état courageux :
"Je tiens à annoncer que nous préparons un procès contre Barack Obama afin de le condamner pour crimes contre l’humanité”, a déclaré le président Morales lors d’une conférence de presse dans la ville bolivienne de Santa Cruz. Il a stigmatisé le président américain comme un « criminel » qui viole le droit international.
En solidarité avec le Venezuela, la Bolivie va commencer la préparation d’un procès contre le chef d’Etat américain qui se tiendra au tribunal international. En outre, Morales a convoqué une réunion d’urgence de la Communauté des États d’Amérique latine et des Caraïbes (CELAC) pour discuter de ce qui a été condamné par le Venezuela comme étant “un acte d’intimidation par l’impérialisme nord-américain.