Schweizer.ch,
je regrette que vous n’ayez lu que brièvement le texte et les commentaires, ou que vous n’ayez pas compris, ou bien que je me suis mal exprimé.
« Maintenant, si vous pensez qu’il vaut mieux jeter » : Aucun des produits ne fut jeté voyons. Cet homme bien mieux que moi savait que les dates ne signifient pas grand chose, et puis là n’est pas vraiment le sujet de mon écrit.
« Vous êtes visiblement trop jeune pour savoir... » : « Je ne vais pas vous raconter ma vie... » ais-je dit. Je ne suis guère le sujet ici, alors mon âge (non précisé), mon nom, mon job, mon passé, etc, idem pour ce monsieur, quelle importance ? Cela aurait-il changé votre point de vue ? Le boss, bien plus âgé que moi mais bien moins que cet homme, n’avait pas l’air de savoir le sens du mot humanité. Pourtant cette dernière m’est apparue dans les yeux de ce « pauvre » autant que dans ceux d’un enfant.
"Et, en bout de course, le « client » de l’institution
n’a aucunement l’obligation d’accepter un produit périmé, et encore moins de le
consommer... «
Là, vous avez parfaitement raison, aucunement l’obligation, mais après une telle humiliation, il peut sembler évident que l’on soit légèrement troublé pour raisonner en ce terme. Et puis, le »client« ne connait nullement la consigne et ne sait pas que les produits sont périmés. La fois suivante, j’imagine que le »client« informé aura un recul quant à cette réalité. Dans le cas de cet homme, la suite est une autre histoire, à suivre qui sait...
»S’il ne veut pas donner l’impression de chichiter...« : Sa tristesse se faisait plutôt en chuchotement.
Merci de votre contribution qui invite à discussion.
Aglagla,
inscription pour donner votre coup de chaud ?
Merci de la lecture et de votre réaction, il (le »pauvre vieux") sera touché j’imagine, puisque je pense lui faire part de tout cela. Vous avez saisi le sens de ce non-sens...