sur le soleil : les cycles 22 et 23 ont été parmi les plus « forts » des dix derniers cycles avec des flux thermiques montrant que la constante solaire ... n’est pas constante. le cycle 24 en cours surprend par sa faiblesse, tant sur le nombre de Wolf que sur la mesure SFU ( Solar Flux Unit pris à 2800 MHz) ce qui pose quelques problèmes aux astronomes spécialistes.
Un bon thermomètre est celui des banquises, non pas prises individuellement mais globalement :si la banquise arctique est en dessous de sa valeur moyenne prise sur trente ans celle de l’Antarctique est au-dessus de deux écarts-types .
Il y a plus c’est la circulation à travers les grands détroits peu profonds :
Torrès ( nord Australie)
Bering ( Alaska -Russie)
détroits de la Sonde
Tous sont essentiels à la circulation interocéanique, et possèdent deux particularités :
1) ils sont très peu profonds ( Torrès 35 m et mer d’Arafoura max 50 m, Bering même ordre de grandeur, comme la mer des Tchoukes, comme pour les détroits de la Sonde)
2) Bering et La Sonde sont sur des zones sismiques avec variation des fonds possibles comme on le constate lors de n’importe quel séisme.
3) Torrès est dans une zone un peu sismique mais aussi en évolution biologique permanente en raison de la croissance ou de la mort des coraux - voir abords de la grande barrière)
cela suffit pour modifier les sections de transit et donc les flux et les échanges..
Le scientifique qui est à l’origine de la théorie de l’influence de la circulation océanique sur le climat est W. Gray, ( Boulder) .... démissionaire du GIEC, tout comme son élève Landsea lui aussi démissionaire et à eux deux sont à la base de la formulation Gray-Landsea sur la fréquence des cyclones dans l’Atlantique ..... hélas, hélas, hélas le RCA , n’y est pour rien .
Autre démissionaire du GIEC Richard Lindzen prof de climatologie du M.I.T.