Bonjour,
Un peu de retard, j’étais en déplacemement mais j’ai au moins la décence de vous répondre.
Vous êtes très attendrissant, vous savez !.
Vous êtes dans la posture du petit garçon complètement éberlué parce qu’on n’a pas réagi aux propos « extraordinaires » de son papa, ce héros !.
Vous précisez que les échanges que j’ai tenu avec « agent orange » ont été rapportés ( na ! ) et commentés ( et toc ! ).
J’ai donc souri deux fois.
La première lorsque j’ai pris connaissance de la question posée par Bebr, euh ! pardon poilagratter...sur le site web de Georges Cenci deux jours à peine après la fin de mes contacts avec « agent orange » sur ce site.
C’était tellement cousu de fil blanc que d’ailleurs on ne pouvait plus parler de fil mais de ficelle tant elle était grosse.
La seconde parce que j’étais quasi convaincue que mon silence sur le sujet allait vous intriguer et que je ne me suis pas trompée.
Quant à la réponse de Monsieur Cenci, car tel est votre souci, elle reste sans surprise pour moi car je connaissais son sentiment envers Monsieur Vellard, je l’avais d’ailleurs précisé un peu plus haut sur cette page.
Je ne peux, sur ce cas précis, j’insiste, confirmer ou infirmer ses dires. Je n’ai pas suffisamment d’éléments sur ce témoin ( même si je m’y attele ) et contrairement à votre ami, lorsque je ne sais pas, je n’éprouve aucune gêne à le préciser.
Je ne vais pas, comme il l’a fait, boucher les trous, remplir les vides à l’aide d’incohérences, d’actes manqués et d’approximations.
Cela lui a d’ailleurs valu il me semble le surnom d’« Alain Decaux de la Gendarmerie » tant sa prose a suppléé aux manques.
« Le scandale n’est pas de dire la vérité, c’est de ne pas la dire tout entière, d’y introduire un mensonge par omission qui la laisse intacte au dehors, mais lui ronge, ainsi qu’un cancer, le coeur et les entrailles . » Georges Bernanos
Cordialement