Une analyse factuelle et que je partage largement. L’auteur a résumé le problème et apporté les bonnes solutions.
Et ces remises en cause du système prédateur en place devraient -me semble t-il- commencer par une dénonciation des dettes auprès du système financier. Si on devait continuer à payer ces intérêts et construire cette pyramide de ponzi, on resterait dans l’impossibilité de nous redresser.
Mais ce qu’il y a à faire aujourd’hui est déjà connu. La difficulté est ailleurs : le système financier tire aujourd’hui toutes les ficelles. Comment trouver les hommes qui initieront ce changement de paradigme étant donné que la plupart -sinon tous- les politiques sont des marionnettes ? Or, tout mouvement a besoin de leaders. Où sont ils ?
On a vu en Grece que Syriza a très rapidement tourné casaque pour oublier ses engagements et s’inscrire dans le système en place. Il en est de même ailleurs. Les mouvements qui se créent sont très souvent -sinon constamment- le fait du système qui nous présente des possibilités fictives.
Ce changement devra donc commencer par une prise de conscience quasi générale et un refus de continuer de la part des populations, en commençant, comme d’habitude, par la partie « agissante » d’entre nous..
Souci, dans cette « partie d’échec » nous avons plusieurs coups de retard.